Une nouvelle étude commandée par Alteryx , la plateforme d'IA pour l'analyse d'entreprise en France, révèle que les organisations ne sont pas prêtes à tirer parti de l'IA générative en raison de leurs données. Le rapport " Data Stack Evolution : Legacy Challenges and AI Opportunities", qui a interrogé 3 100 leaders mondiaux de l'informatique, a mis en évidence des obstacles qui empêchent le déploiement réussi de l'IA générative, notamment la gestion des piles de données, la stratégie technologique et les cultures d'entreprise. Un manque de confiance envers les piles de données L’étude souligne un décalage important entre la confiance que les responsables informatiques mondiaux accordent à leurs données et la réalité de leurs piles de données. En France, alors que 43% des répondants qualifient la maturité de leurs données comme étant "bonne" ou "avancée" et que 68% ont confiance dans leurs données, un cinquième a tout de même évo
TMS. Trois lettres qui signifient troubles musculosquelettiques et qui constituent « la première cause de maladie professionnelle reconnue en France », selon l'institut national de recherche et de sécurité (INRS). Les TMS recouvrent plusieurs pathologies affectant le poignet (tendinites, syndrome du canal carpien…), le coude ou l'épaule. Et ceux d'entre nous qui travaillent sur un ordinateur sont particulièrement exposés tant l'ergonomie des postes de travail (écran, souris, clavier) est insuffisamment prise en compte dans les entreprises. Améliorer le confort de travail n'est pourtant pas forcément onéreux comme le démontre chaque jour Martine Pineau. Cette Toulousaine est l'une des rares en France à proposer un apprentissage de la dactylographie ergonomique, basée sur la méthode Dvorak.
Mise au point par l'Américain August Dvorak dans les années 30, cette méthode consiste en une disposition des touches du clavier différente de celles des claviers traditionnels Azerty ou Qwerty ; et spécifique à une langue donnée selon la fréquence d'emploi des lettres. Inutile d'acheter un clavier Dvorak car en installant un petit logiciel gratuit, on peut « transformer » un clavier traditionnel en clavier Dvorak version française.
La position des caractères sera certes inchangée mais ce la n'a guère d'importance car « on n'a plus besoin de regarder le clavier », s'amuse Martine Pineau. « Il faut arrêter de fétichiser le clavier car ce n'est pas le plus important. » « L'objectif de la méthode est de faire le moins de mouvements possible mais seulement les gestes nécessaires », explique la spécialiste. 20 heures de formation - contre 70 pour les méthodes traditionnelles - suffisent ainsi pour acquérir la méthode Dvorak, qui ne présente pas que des avantages sur le plan des TMS. En effet, le confort de frappe acquis permet naturellement d'être moins stressé et plus performant quant à la vitesse de frappe.
Reste que l'apprentissage de cette nouvelle méthode et la disposition particulière des caractères, rebuteront nombre d'entre nous qui préféreront changer physiquement de clavier. Mais ceux qui ont franchi le pas ne reviennent jamais en arrière…
La position des caractères sera certes inchangée mais ce la n'a guère d'importance car « on n'a plus besoin de regarder le clavier », s'amuse Martine Pineau. « Il faut arrêter de fétichiser le clavier car ce n'est pas le plus important. » « L'objectif de la méthode est de faire le moins de mouvements possible mais seulement les gestes nécessaires », explique la spécialiste. 20 heures de formation - contre 70 pour les méthodes traditionnelles - suffisent ainsi pour acquérir la méthode Dvorak, qui ne présente pas que des avantages sur le plan des TMS. En effet, le confort de frappe acquis permet naturellement d'être moins stressé et plus performant quant à la vitesse de frappe.
Reste que l'apprentissage de cette nouvelle méthode et la disposition particulière des caractères, rebuteront nombre d'entre nous qui préféreront changer physiquement de clavier. Mais ceux qui ont franchi le pas ne reviennent jamais en arrière…