Par Kathleen Desveaud , Kedge Business School L’intelligence artificielle promet un soulagement face à l’ennui des tâches répétitives au travail, mais son usage excessif pourrait entraîner une déqualification progressive et une nouvelle forme de frustration professionnelle. Entre automatisation bénéfique et risque de « travail zombie », comment faire de l’IA un allié du développement des compétences plutôt qu’une source d’appauvrissement cognitif ? L’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur les métiers est un sujet majeur , qui a été traité dans de nombreuses études . Si la question de la disparition des emplois retient souvent l’attention, une autre question de fond mérite d’être considérée : comment ces technologies transforment et transformeront-elles concrètement le quotidien, les compétences et la motivation des travailleurs ? L’IA, un remède contre l’ennui au travail ? L’IA est parfois présentée comme un parfait remède a...

Mise au point par l'Américain August Dvorak dans les années 30, cette méthode consiste en une disposition des touches du clavier différente de celles des claviers traditionnels Azerty ou Qwerty ; et spécifique à une langue donnée selon la fréquence d'emploi des lettres. Inutile d'acheter un clavier Dvorak car en installant un petit logiciel gratuit, on peut « transformer » un clavier traditionnel en clavier Dvorak version française.
La position des caractères sera certes inchangée mais ce la n'a guère d'importance car « on n'a plus besoin de regarder le clavier », s'amuse Martine Pineau. « Il faut arrêter de fétichiser le clavier car ce n'est pas le plus important. » « L'objectif de la méthode est de faire le moins de mouvements possible mais seulement les gestes nécessaires », explique la spécialiste. 20 heures de formation - contre 70 pour les méthodes traditionnelles - suffisent ainsi pour acquérir la méthode Dvorak, qui ne présente pas que des avantages sur le plan des TMS. En effet, le confort de frappe acquis permet naturellement d'être moins stressé et plus performant quant à la vitesse de frappe.
Reste que l'apprentissage de cette nouvelle méthode et la disposition particulière des caractères, rebuteront nombre d'entre nous qui préféreront changer physiquement de clavier. Mais ceux qui ont franchi le pas ne reviennent jamais en arrière…
La position des caractères sera certes inchangée mais ce la n'a guère d'importance car « on n'a plus besoin de regarder le clavier », s'amuse Martine Pineau. « Il faut arrêter de fétichiser le clavier car ce n'est pas le plus important. » « L'objectif de la méthode est de faire le moins de mouvements possible mais seulement les gestes nécessaires », explique la spécialiste. 20 heures de formation - contre 70 pour les méthodes traditionnelles - suffisent ainsi pour acquérir la méthode Dvorak, qui ne présente pas que des avantages sur le plan des TMS. En effet, le confort de frappe acquis permet naturellement d'être moins stressé et plus performant quant à la vitesse de frappe.
Reste que l'apprentissage de cette nouvelle méthode et la disposition particulière des caractères, rebuteront nombre d'entre nous qui préféreront changer physiquement de clavier. Mais ceux qui ont franchi le pas ne reviennent jamais en arrière…