Mike_Shots/Shutterstock Par Caroline Diard , TBS Education et Vincent Meyer , EM Normandie Le contrat de travail donne à l’employeur un pouvoir de direction, incluant le contrôle des tâches effectuées en contrepartie d’une rémunération. Mais peut-on vraiment surveiller les télétravailleurs à leur insu ? La généralisation du télétravail a modifié le lieu d’exercice du travail – en mode nomade, à domicile, en tiers-lieu – et provoqué une imbrication des temps et espaces de vie. La banque états-unienne Wells Fargo a licencié une dizaine de collaborateurs au motif que ses salariés utilisaient un simulateur de mouvement de souris pour contrer le logiciel installé par leur employeur pour contrôler leur activité. Le géant bancaire brésilien Itaú a, quant à lui, tranché la question de la productivité de ses salariés en télétravail de façon radicale avec le licenciement de 1 000 salariés. Ces deux affaires très médiatisées interroge...
Dans le cadre du "Trophée des Apps" qui s’est tenu hier à Paris pour récompenser les meilleurs applications pour smartphones, l’application InCity, proposée aux collectivités par l’ORQUASI (l’Observatoire régional de la qualité de service des infrastructures de Midi-Pyrénées) s’est vu remettre un prix et une mention spéciale dans la catégorie "Meilleure Application Communautaire".
Lancée depuis septembre 2015, InCity est une application mobile, gratuite, associée à une plateforme web, qui permet de signaler les dégradations constatées sur le domaine public, de les classifier et de les géolocaliser. Elle est donc au service à la fois des citoyens et des collectivités.