Les téléphones permettent de communiquer avec des personnes qui ne parlent pas notre langue et dont nous ne parlons pas la langue. Maxx-Studio / Shutterstock Par Pascual Pérez-Paredes , Universidad de Murcia Est-il encore utile d’apprendre des langues étrangères quand on dispose de smartphones équipés de traducteurs automatiques ? Si cette hypothèse inquiète, il semblerait que l’intelligence artificielle ouvre aussi de nouvelles pistes pour s’initier à différentes langues. En 2024, la société Open AI , spécialisée dans l’intelligence artificielle, a présenté GPT4-o, un nouveau grand modèle de langage capable de « raisonner » et d’interagir avec du texte, des images et des sons. Dans l’une des vidéos diffusées après ce lancement, on voit deux personnes sur leur téléphone portable qui demandent à GPT4-o de les écouter et de traduire leurs échanges de l’anglais à l’espagnol ou de l’espagnol à l’anglais, de sorte que
Anne Lauvergeon, présidente du conseil d'administration du Toulousain Sigfox, spécialisé dans l'internet des objets, et ancienne numéro 1 d'Areva, s'investit dans une nouvelle start-up qui se partage entre Toulouse et Nîmes : BoosHeat. Mme Lauvergon a été nommée présidente du conseil d'administration.
Cette société est spécialisée dans l'efficacité énergétique ; elle a développé notamment une chaudière thermodynamique pour la production de chauffage, d'eau chaude sanitaire et de climatisation.
Créée en 2011 par deux ingénieurs belges, Jean-Marc Joffroy et Luc Jacquet, BoostHeat va prochainement passer des essais en laboratoire à la production avec la construction d'une usine en 2017. La société emploie une quarantaine de personnes et a déjà séduit ERdF et le groupe Dalkia.