Les cybercriminels agissent en bandes très organisées, et surtout très modulables. Dan Asaki, Unsplash , CC BY Par Jean-Yves Marion , Université de Lorraine Europol vient d’ annoncer le démantèlement d’un groupe de rançongiciels en Ukraine . Dans leur forme la plus basique, ces cyberattaques bloquent les systèmes informatiques et exfiltrent les données de la victime, promettant de les restituer contre rançon. Ainsi, en août 2022, une cyberattaque attribuée au rançongiciel LockBit a paralysé le centre hospitalier sud-francilien en exfiltrant 11 Gigaoctets de données de patients et d’employés. L’hôpital a dû fonctionner en « mode dégradé » pendant plusieurs mois, avec les dossiers médicaux inaccessibles et des appareils de soin inutilisables. En juillet 2023, c’est le port de Nagoya, l’un des plus importants du Japon, qui a été obligé de s’arrêter pendant deux jours à cause d’un rançongiciel. De l’exfiltration des données à leur revente sur des marc

> Les compacts. Les prix vont de 150 à 700€. Un capteur de 5 à 6 millions de pixels est suffisant pour des tirages 20x30cm. Le zoom optique varie de 3x à 4x. La focale courante est 38-114 mm mais certains appareils notamment chez Panasonic ou Ricoh proposent un grand-angle. Beaucoup ont un stabilisateur qu'il faut préférer optique. L'écran de visualisation (2 à 2,8'') est de qualité souvent variable. Un critère à bien regarder surtout que les viseurs sont de plus en plus rares. Vérifier enfin quels accessoires sont ou non livrés.
> Les brigdes. Situés entre les compacts et les reflex, on les a souvent donnés pour mort mais ils ont trouvé un public d'amateurs éclairés, séduits par leurs superzooms. (jusqu'à 12x). Préférer les bridges avec zoom grand angle. Vérifier la sensibilité (1 600 iso suffisent), le poids et les accessoires livrés.
> Les reflex. Jadis réservés aux pros, les reflex se démocratisent et les grands constructeurs, Canon, Nikon ont à leur catalogue des premiers prix aux qualités réelles. Des qualités qui augmentent à mesure que les prix baissent : 750 € en 2007 contre 830 € en 2006. pour des appareils très évolutifs avec une vaste gamme d'optique (qui gonfle la facture). À vérifier le mode rafale, le poids de l'appareil qui peut atteindre 1 kilo, la présence d'un système anti-poussières et d'une connexion USB 2.0. Et pour tous les APN, penser à la carte mémoire…
Un téléphone mobile pour appareil photo ?
Les téléphones portables étant devenus de plus en plus des photophones, la question se pose de savoir s'ils peuvent réellement remplacer un appareil photo numérique classique. Pour certains modèles avec des capteurs entre 1,3 et 3,2 millions de pixels, un zoom, un flash et parfois un autofocus la réponse est oui, même s'ils n'égalent pas un appareil classique. Les constucteurs y travaillent, comme LG avec son Viewty ou Samsung avec son G800 aux capteurs de 5 millions de pixels !