Mike_Shots/Shutterstock Par Caroline Diard , TBS Education et Vincent Meyer , EM Normandie Le contrat de travail donne à l’employeur un pouvoir de direction, incluant le contrôle des tâches effectuées en contrepartie d’une rémunération. Mais peut-on vraiment surveiller les télétravailleurs à leur insu ? La généralisation du télétravail a modifié le lieu d’exercice du travail – en mode nomade, à domicile, en tiers-lieu – et provoqué une imbrication des temps et espaces de vie. La banque états-unienne Wells Fargo a licencié une dizaine de collaborateurs au motif que ses salariés utilisaient un simulateur de mouvement de souris pour contrer le logiciel installé par leur employeur pour contrôler leur activité. Le géant bancaire brésilien Itaú a, quant à lui, tranché la question de la productivité de ses salariés en télétravail de façon radicale avec le licenciement de 1 000 salariés. Ces deux affaires très médiatisées interroge...

Wii. Lancée en décembre 2006, la Wii, qui est la moins chère, propose une manette (la wiimote) dotée d'un capteur de mouvements qui permet de jouer comme jamais auparavant, debout devant sa télé, effectuant des gestes reproduits à l'écran. Cet atout compense un affichage de moindre qualité et l'absence de lecture de DVD.
Playstation. Chère, la 3e génération de la Playstation, que Sony a accouchée dans la douleur, est un concentré de technologies : de la lecture de DVD haute définition Blu-ray à la détection de mouvement, du navigateur web au récepteur TNT et au magnétoscope numérique, elle sait tout faire. Ses handicaps : son prix et l'absence de câbles et de télécommande !
XBox 360. La console de Microsoft apparaît plus classique mais elle offre un atout : le jeu en ligne, pour peu que l'on souscrive un abonnement de 5 € par mois.
Du côté des consoles portables, seuls Nintendo et Sony se retrouvent face à face. La Nintendo DS Lite (150 €) séduit avec son double écran tactile et sa liaison Wifi. La Sony Playstation portable (170 €) offre un grand écran 16/9e et est davantage multimédia.