Mike_Shots/Shutterstock Par Caroline Diard , TBS Education et Vincent Meyer , EM Normandie Le contrat de travail donne à l’employeur un pouvoir de direction, incluant le contrôle des tâches effectuées en contrepartie d’une rémunération. Mais peut-on vraiment surveiller les télétravailleurs à leur insu ? La généralisation du télétravail a modifié le lieu d’exercice du travail – en mode nomade, à domicile, en tiers-lieu – et provoqué une imbrication des temps et espaces de vie. La banque états-unienne Wells Fargo a licencié une dizaine de collaborateurs au motif que ses salariés utilisaient un simulateur de mouvement de souris pour contrer le logiciel installé par leur employeur pour contrôler leur activité. Le géant bancaire brésilien Itaú a, quant à lui, tranché la question de la productivité de ses salariés en télétravail de façon radicale avec le licenciement de 1 000 salariés. Ces deux affaires très médiatisées interroge...

Parmi les points à vérifier et qu'on oublie parfois : la sensibilité pour capter le réseau, l'autonomie en veille ou en communication, le temps de charge de la batterie. Ajoutons la possibilité d'étendre la mémoire avec une carte, la présence du Bluetooth voire du Wifi, le capteur photo (1,3 méga minimum), les fichiers audio compatibles. A vérifier également si la puce est haut débit UMTS (3G) ou HSDPA (3G +). Dernier critère à vérifier et non des moindre, le débit d'absorption spécifique (DAS) qui mesure le niveau d'exposition des utilisateurs aux champs électromagnétiques. L'affiche du DAS est obligatoire. Il doit être inférieur à 2 W/kg.
Prix. Un téléphone classique coûte entre 80 et 300€. Les mobiles multimédias ont des prix entre 250 et 800€. Les smartphones s'affichent entre 250 et 900€. Des prix qui peuvent être plus bas lors de la souscription ou du renouvellement.