Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
La 10e édition du Dev’Com Midi-Pyrénées, le grand salon des professionnels du marketing et de la communication, s'est tenue le 21 novembre dernier à Toulouse dans les locaux d’Entiore, Cité de l’entreprise. Professionnels de la communication, responsables marketing de la région et de la France entière ont participé aux ateliers, conférences speed démos, etc.
Plusieurs tables rondes ont été organisées et j'ai eu le plaisir de participer avec ma collègue Joëlle Porcher, rédactrice en chef de Toulouse Mag, à celle intitulée "Quels bouleversements pour les médias en 2014 ?"
Plusieurs tables rondes ont été organisées et j'ai eu le plaisir de participer avec ma collègue Joëlle Porcher, rédactrice en chef de Toulouse Mag, à celle intitulée "Quels bouleversements pour les médias en 2014 ?"