Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
Aujourd'hui, seules 36% des entreprises effectuent un archivage numérique, selon urne étude Expensya. Les autres, privilégiant l'archivage physique, sont pourtant la moitié à penser que l'archivage physique coûte trop cher. 1 entreprise sur 5 interrogées dépense plus de 2000 euros par an pour l'archivage physique !
En plus d'un coût élevé, 31% des entreprises adeptent de l'archivage physique ont déjà vu au moins un de leur document altéré ! Ces problèmes peuvent s'avérer d'une importance capitale lors d'un contrôle URSAAF par exemple.
Pour celles qui se sont mises au numérique, un grand pas a été fait ! Cependant, quand nous apprenons que 28% d'entre elles jettent le papier après l'archivage numérique, il est important de préciser que pour se faire, il faut une certification de la solution utilisée !
Moins coûteux, plus précis et d'une durée plus longue, l'archivage numérique sera bientôt l'unique archivage possible. Bien que 65% des entreprises interrogées n'aie jamais entendu parler de l'archivage à valeur probante, les 35% à en avoir entendu parler comprennent 86% à souhaiter le mettre en place.