Alors que la COP30 remet le vivant au cœur des stratégies climatiques, Oxford et la start-up française Asteria dévoilent un atlas inédit qui traduit les mécanismes biologiques en solutions énergétiques concrètes. Nourri par une base scientifique unique, l’outil connecte défis industriels et stratégies inspirées du vivant, ouvrant de nouvelles perspectives d’innovation durable, notamment pour les pays en développement. Ce démonstrateur positionne le biomimétisme comme un levier majeur de la transition énergétique et écologique. À l’heure où la COP30, qui s’est achevée vendredi, plaçait le vivant au centre des enjeux climatiques, l’Université d’Oxford et la start-up française Asteria ont avancé une proposition rare dans le paysage de l’innovation : considérer la biodiversité non comme une ressource à exploiter, mais comme une bibliothèque de solutions éprouvées par 3,8 milliards d’années d’évolution. Autrement dit, la nature est inspirante pour que nous réussissions la tr...
Ces derniers jours nos regards se sont tournés vers l’espace entre le lancement réussi de la mission Mars 2020 ou l’annonce par l’astronaute Thomas Pesquet de son retour sur l’ISS, la station spatiale internationale en 2021 à bord de la capsule Dragon X de Space X. Mais les horizons lointains ne sont pas que dans l’espace, ils peuvent aussi être sur la Terre, dans les profondeurs des océans qui conservent encore beaucoup de mystères. C’est pour pouvoir les percer que le petit-fils du commandant Cousteau, Fabien Cousteau, porte le projet de créer une "ISS de l’océan. " À la tête de la Fabien Cousteau Ocean Learning Center (FCOLC), dédié à la protection et à la préservation des eaux, des zones côtières et des habitats marins via des actions concernant l’éducation, la recherche, la collaboration, et l’autonomisation, il porte un projet qui s’appelle "Proteus", avec le designer suisse Yves Béhar. "L’exploration océanique est 1 000 fois plus importante que l’explo...