Friedrich Merz et Emmanuel Macron - Photo Bundesregierung / Jesco Denzel. Réunis à Berlin pour un sommet sur la souveraineté numérique, la France et l’Allemagne ont scellé une feuille de route commune pour renforcer l’autonomie technologique européenne. Simplification réglementaire, normes de protection des données, investissements massifs et développement d’une IA d’avant-garde structurent cette stratégie, alors que l’Europe tente de combler son retard face aux États-Unis et à la Chine. Le hasard fat parfois bien les choses. Alors qu’un Sommet sur la souveraineté numérique européenne s’est tenu ce mardi 18 novembre à Berlin, le monde et donc l’Europe faisaient face à de nombreux sites internet en panne. Plusieurs sites, dont le réseau social X et la page d’accès de l’agent conversationnel ChatGPT, ont été perturbés en raison d’un incident technique touchant le fournisseur américain de services Cloudflare, utilisé par 20 % des sites dans le monde. On aurait voulu démontre...
Par Lydie Balfet, Responsable Marketing et offres, NetExplorer
Innovantes et avant-gardistes, les start-ups redoublent de concepts et de nouveaux services pour faciliter notre quotidien et celui des entreprises. Leur objectif : démarrer et grandir vite. Les jeunes pousses ont donc elles aussi besoin de solutions qui leur simplifient la vie et leur permettent de se concentrer sur leur business. Pour être efficaces, les outils mis en place doivent comporter les quatre caractéristiques suivantes :
1. Être simple et rapide
Lorsqu’on lance une start-up, on n’a ni le temps ni les moyens de tester et de comparer la multitude d’outils qui s’offrent à nous, et encore moins celui de suivre une formation ou de procéder à une installation laborieuse. C’est pourquoi, la solution mise en place doit être intuitive et facilement prise en main, sans que l’on ait des compétences particulières en informatique.
Par ailleurs, avant de valider le choix d’un outil en particulier, il faut s’assurer que celui-ci puisse être déployé rapidement en vérifiant quel est le délai de mise en place, avec quel environnement logiciel existant peut-il être connecté, quel est le temps nécessaire au paramétrage etc.
Plus la solution sera simple et rapide à installer, moins la start-up perdra un temps précieux, et plus elle pourra se concentrer sur son développement.
2. Être tout-en-un
La multitude d’outils présents sur le marché permet aux start-up de répondre à différents besoins spécifiques. Or, certains d’entre eux sont complémentaires, et il est préférable de s’orienter vers une solution complète, plutôt que d’additionner des logiciels.
Vous gagnerez en temps et en performances : un seul outil à maîtriser et à installer, un seul interlocuteur, et la réponse à plusieurs besoins.
3. Être mobile
Les startupers sont mobiles, leurs outils de travail doivent l’être aussi ! À son lancement, il est en effet rare qu’une start-up dispose de locaux. Ses membres sont nomades, et travaillent fréquemment dans divers lieux : depuis leur domicile, dans un café ou un espace de co-working, dans les transports, voire même chez les investisseurs.
Les solutions doivent donc être accessibles depuis n’importe où et via n’importe quel device, voire même sans connexion Internet.
4. Être flexible
Les potentiels de croissance d’une start-up sont énormes, et grâce à une ou plusieurs levées de fonds réussies, son business peut se développer à vitesse grand V. L’outil doit donc pouvoir grandir en même temps que la jeune pousse et s’adapter instantanément aux nouveaux besoins de celle-ci, qu’il s’agisse d’une augmentation des performances ou d’un plus large nombre d’utilisateurs.
