Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...
Le salon européen de la photographie Photokina, qui se tient à Cologne en Allemagne jusqu’au 26 septembre est en passe de consacrer une nouvelle race d’appareils photos numériques : les micro-reflex (ou reflex 4/3). Jusqu’ici, le marché se divisait en trois grandes catégories : les reflex à objectifs interchangeables plutôt réservés aux professionnels ou aux amateurs experts ; les bridges dotés de zoom très importants pour les amateurs éclairés ; et les compacts pour le grand public. Les micro-reflex, apparus il y a deux ans, bousculent ce classement pour répondre aux 88 % de consommateurs qui, selon Sony, aimeraient prendre de meilleures photos, mais trouvent les reflex « trop experts ». Les micro-reflex proposent donc (à partir de 500 €) la qualité d’image des reflex avec des objectifs interchangeables mais avec la compacité des bridges. Cette prouesse se fait bien sûr au prix de quelques compromissions techniques : le miroir des reflex n’est pas présent tout comme la visée optique ...