Présenté par la société américaine 1X, Neo se veut le premier robot humanoïde pensé pour un usage domestique. Capable de plier le linge, ranger ou préparer la maison, il combine design apaisant, intelligence artificielle et autonomie avancée. Mais derrière cette prouesse technique se profilent déjà des interrogations sur la confidentialité et l’avenir de la robotique au foyer. Présenté comme le premier robot humanoïde pensé pour un usage domestique, Neo ne relève plus de la science-fiction. Dévoilé mardi par la société américaine 1X , il ambitionne de transformer les gestes ordinaires du quotidien en expériences automatisées. Plier le linge, ranger les étagères, préparer la maison avant le retour de ses occupants : fini les corvées domestiques. L’objectif, selon le fondateur de 1X Bernt Bornich, est de « libérer du temps humain » et faire du foyer un espace assisté non contraint. Le robot se présente sous la forme d’un humanoïde au design minimaliste avec une silhouette fluide, u...
 D’aucuns auraient pu penser qu’instruit par les déboires de la Direction générale des impôts pour la télédéclaration des revenus sur internet; puis par le succès fulgurant de la mise en ligne de 10000 heures d’archives sur le site de l’institut national de l’audiovisuel (INA), l’institut géographique national (IGN) avait pris toutes les précautions pour lancer son site Géoportail qui permet de découvrir la France vue du ciel grâce à des photos aériennes (Technomedi@ du 24 juin). Las! Le site a non seulement été saturé vendredi dernier mais aussi toute la semaine, ce qui est plus problématique.Sur les 21 millions de requêtes, seules 6 millions ont été honorées.Et encore ces chiffres ne concernent que les internautes qui ont eu la «chance» de voir le message d’indisponibilité, ce qui signifie que le nombre de visiteurs – et donc le taux d’échec – est nettement plus élevé.
D’aucuns auraient pu penser qu’instruit par les déboires de la Direction générale des impôts pour la télédéclaration des revenus sur internet; puis par le succès fulgurant de la mise en ligne de 10000 heures d’archives sur le site de l’institut national de l’audiovisuel (INA), l’institut géographique national (IGN) avait pris toutes les précautions pour lancer son site Géoportail qui permet de découvrir la France vue du ciel grâce à des photos aériennes (Technomedi@ du 24 juin). Las! Le site a non seulement été saturé vendredi dernier mais aussi toute la semaine, ce qui est plus problématique.Sur les 21 millions de requêtes, seules 6 millions ont été honorées.Et encore ces chiffres ne concernent que les internautes qui ont eu la «chance» de voir le message d’indisponibilité, ce qui signifie que le nombre de visiteurs – et donc le taux d’échec – est nettement plus élevé.
Alors que Géoportail doit proposer de nouvelles données et de nouvelles applications (topographie 3D notamment), l’IGN tente de régler ses problèmes.Le prestataire du Géoportail, Teamlog, va louer de nouveaux serveurs de calculs pour essayer de répondre à la forte demande.Si celle-ci persiste, il n’est pas exclu que l’IGN mettre en place – comme la Direction général des impôts l’avait proposé – un système de réservation.Les internautes s’inscriraient alors sur le site pour obtenir un créneau (jour et heure) pour être sûr de ce connecter… Vu le succès, le risque d’interminables listes d’attente est fort.
D’ici là, les internautes peuvent découvrir les photos du Géoportail (liée à une adresse) sur le sur le site des Pages jaunes.
D’ici là, les internautes peuvent découvrir les photos du Géoportail (liée à une adresse) sur le sur le site des Pages jaunes.