Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...
La sortie de l'iPad d'Apple a attiré l'attention du grand public sur les livres électroniques mais cela fait longtemps que les spécialistes se sont penchés sur la dématérialisation de l'écrit. Pour expliquer sa démarche, la Bibliothèque nationale de France vient d'ouvrir un espace passionnant dans ses locaux de la bibliothèque François Mitterrand, à Paris, baptisé le Labo, « lieu expérimental dédié aux nouvelles technologies de lecture et d'écriture. » Cet espace prolonge la réflexion par un site internet (http://labo.bnf.fr) et un blog (http://labobnf.blogspot.com/) sur lequel on peut découvrir le robot communiquant Isir ou ce que sera la bibliothèque du XXIe siècle.