Invisibles depuis la surface, les câbles sous-marins en fibre optique transportent plus de 99 % du trafic intercontinental et forment l’ossature de l’économie numérique mondiale. Alors que leur réseau doit croître de près de 50 % d’ici 2040, sous l’effet du cloud et de l’intelligence artificielle, les États s’inquiètent de leur vulnérabilité aux sabotages et à l’espionnage. L’atterrissement à Marseille du câble Medusa, accueilli dans les infrastructures d’Orange, illustre à la fois cette expansion et la course à la résilience. Au XIX e siècle, le télégraphe a tissé la première trame de la mondialisation. Au XXI e , ce rôle est assumé par un réseau méconnu : près de 1,4 million de kilomètres de câbles sous-marins, qui transportent plus de 99 % du trafic internet international. Environ 550 à 570 systèmes sont aujourd’hui actifs, auxquels s’ajoutent plus de 80 projets en construction. L’Europe de l’Ouest, avec 152 câbles opérationnels, figure parmi les nœuds ...
Pour bien suivre la Coupe du monde, rien ne vaut internet. De nombreux sites proposent u, e multitudes d'infos en temps réel - dont celui de la FIFA qui vient de sortir sur iPad - mais c'est le géant Google qui propose toute une gamme d'outils pour plonger dans le mondial. Les sept stades peuvent être visualisés de l'intérieur comme de l'extérieur à 360°.
Google propose également des visites virtuelles en 3D des 10 stades et de plusieurs villes d'Afrique du Sud (Rustenburg, Nelspruit, Polokwane, Le Cap, Durban, Pretoria, Port Elizabeth, Bloemfontein et Johannesbourg). Tous les détails ici : www.google.com/worldcup
Google propose également des visites virtuelles en 3D des 10 stades et de plusieurs villes d'Afrique du Sud (Rustenburg, Nelspruit, Polokwane, Le Cap, Durban, Pretoria, Port Elizabeth, Bloemfontein et Johannesbourg). Tous les détails ici : www.google.com/worldcup
