Par Kathleen Desveaud , Kedge Business School L’intelligence artificielle promet un soulagement face à l’ennui des tâches répétitives au travail, mais son usage excessif pourrait entraîner une déqualification progressive et une nouvelle forme de frustration professionnelle. Entre automatisation bénéfique et risque de « travail zombie », comment faire de l’IA un allié du développement des compétences plutôt qu’une source d’appauvrissement cognitif ? L’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur les métiers est un sujet majeur , qui a été traité dans de nombreuses études . Si la question de la disparition des emplois retient souvent l’attention, une autre question de fond mérite d’être considérée : comment ces technologies transforment et transformeront-elles concrètement le quotidien, les compétences et la motivation des travailleurs ? L’IA, un remède contre l’ennui au travail ? L’IA est parfois présentée comme un parfait remède a...

Dix minutes d'apprentissage
Inventé en 2003 par l’américain Dean Kamen, le Segway est articulé autour d’un gyroscope et est fondé sur le principe de l’équilibre dynamique.Le «conducteur» se tient debout sur une plateforme posée sur un axe supportant deux roues. En se penchant légèrement en avant, le Segway avance ; en arrière, il recule. Déroutante de prime abord la conduite du Segway s’apprend en une dizaine de minutes pourtant. D’une autonomie de 10 à 20 kilomètres grâce à des batteries, le Segway, doté de deux moteurs de 1500 W, peut atteindre 20km/h.
Segway a décliné son premier modèle avec plusieurs versions (golf, tout terrain, police et sécurité) et vient de présenter récemment un nouveau modèle à 4 roues. En plein développement aux États-Unis, le Segway séduit l’Europe et la France. Dans l’Hexagone, 270 Segway ont été écoulés, notamment en entreprises et chez les collectivités (la police lyonnaise par exemple), mais aussi chez certains particuliers handicapés. Le prix très élevé pour l’heure (à partir de 6000 €) décourage, en effet, le grand public.
Et aussi
Le poweriser. Pas de roues certes pour le poweriser mais un mode de locomotion original. Après avoir chaussé ces drôles d’échasses sur ressort, l’on est fin prêt pour faire des bonds de 1,80 mètre de hauteur pour trois mètres de long. De vraies bottes de sept lieues disponibles en plusieurs tailles et notamment pour les enfants. Mais jouer au kangourou a, là aussi, un prix : quelque 400€ la paire.
Le Singleroll skater. Moins cher (99€), le Signleroll skater permet de «skier» sur route avec un drômle de skate à deux roues.
Le Piaggio MP3. Un scooter mais avec 3 roues ! Tel est le pari de Piaggio avec son MP3. Confort et grande stabilité au programme.