Une nouvelle étude commandée par Alteryx , la plateforme d'IA pour l'analyse d'entreprise en France, révèle que les organisations ne sont pas prêtes à tirer parti de l'IA générative en raison de leurs données. Le rapport " Data Stack Evolution : Legacy Challenges and AI Opportunities", qui a interrogé 3 100 leaders mondiaux de l'informatique, a mis en évidence des obstacles qui empêchent le déploiement réussi de l'IA générative, notamment la gestion des piles de données, la stratégie technologique et les cultures d'entreprise. Un manque de confiance envers les piles de données L’étude souligne un décalage important entre la confiance que les responsables informatiques mondiaux accordent à leurs données et la réalité de leurs piles de données. En France, alors que 43% des répondants qualifient la maturité de leurs données comme étant "bonne" ou "avancée" et que 68% ont confiance dans leurs données, un cinquième a tout de même évo
Téléviseurs, lecteurs de DVD, décodeurs, radios-réveils, ordinateurs, imprimantes, box internet… Les produits high tech se sont multipliés dans les foyers des Français - 15 en moyenne - et ont fait grimper leur facture d'électricité. Car la plupart de ces appareils ne sont jamais totalement déconnectés du réseau électrique mais sont en position de veille, prêt à être réactivité d'un coup de télécommande. Un confort certain pour un coût certain du côté du porte-monnaie - 300 € par an soit quatre fois plus qu'il y a dix ans - mais aussi du côté de l'environnement. L'Union européenne l'a bien compris, qui s'est penchée sur la question pour établir une directive sur l'écoconception des appareils. « C'est là une contribution importante à la réalisation des objectifs d'efficacité énergétique et de protection du climat, mais c'est aussi un bon moyen de faire économiser de l'argent à nos concitoyens », expliquait récemment Andris Piebalgs, membre de la Commission chargée de l'énergie. L'Union a donc adopté mi-décembre un règlement pour réduire la consommation des appareils en mode veille. A partir de 2010, celle-ci devra être inférieure à 1 ou 2 watts, des seuils divisés par deux en 2013 ; alors qu'actuellement les appareils en veille consomment près de 4 watts.
Selon la Commission européenne, avec ces nouvelles normes il devrait être possible d'économiser 30 TWh par an soit la consommation électrique annuelle de la Hongrie ! La consommation annuelle des Français devrait tomber à 90 kWh contre 350 aujourd'hui, soit une économie de plus de 30€. Mais pour arriver à cela, les constructeurs vont devoir faire de gros efforts. « La consommation des postes audiovisuel et informatique a complètement explosé, dépassant les plus voraces appareils du foyer, les réfrigérateurs-congélateurs », s'alarme Alain Anglade, spécialiste du dossier à l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Pourtant les technologies vertes (green tech) ont le vent en poupe et le CES de Las Vegas qui s'est ouvert hier va présenter de nombreux appareils plus économes. Le gouvernement, qui a renoncé à l'extension du bonus-malus écologique aux produits high tech, envisage cependant d'instaurer une « étiquette énergie » sur les téléviseurs, pour encourager l'achat des modèles les moins gourmands.
Selon la Commission européenne, avec ces nouvelles normes il devrait être possible d'économiser 30 TWh par an soit la consommation électrique annuelle de la Hongrie ! La consommation annuelle des Français devrait tomber à 90 kWh contre 350 aujourd'hui, soit une économie de plus de 30€. Mais pour arriver à cela, les constructeurs vont devoir faire de gros efforts. « La consommation des postes audiovisuel et informatique a complètement explosé, dépassant les plus voraces appareils du foyer, les réfrigérateurs-congélateurs », s'alarme Alain Anglade, spécialiste du dossier à l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Pourtant les technologies vertes (green tech) ont le vent en poupe et le CES de Las Vegas qui s'est ouvert hier va présenter de nombreux appareils plus économes. Le gouvernement, qui a renoncé à l'extension du bonus-malus écologique aux produits high tech, envisage cependant d'instaurer une « étiquette énergie » sur les téléviseurs, pour encourager l'achat des modèles les moins gourmands.