Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...

Selon la Commission européenne, avec ces nouvelles normes il devrait être possible d'économiser 30 TWh par an soit la consommation électrique annuelle de la Hongrie ! La consommation annuelle des Français devrait tomber à 90 kWh contre 350 aujourd'hui, soit une économie de plus de 30€. Mais pour arriver à cela, les constructeurs vont devoir faire de gros efforts. « La consommation des postes audiovisuel et informatique a complètement explosé, dépassant les plus voraces appareils du foyer, les réfrigérateurs-congélateurs », s'alarme Alain Anglade, spécialiste du dossier à l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Pourtant les technologies vertes (green tech) ont le vent en poupe et le CES de Las Vegas qui s'est ouvert hier va présenter de nombreux appareils plus économes. Le gouvernement, qui a renoncé à l'extension du bonus-malus écologique aux produits high tech, envisage cependant d'instaurer une « étiquette énergie » sur les téléviseurs, pour encourager l'achat des modèles les moins gourmands.