Alors que la COP30 remet le vivant au cœur des stratégies climatiques, Oxford et la start-up française Asteria dévoilent un atlas inédit qui traduit les mécanismes biologiques en solutions énergétiques concrètes. Nourri par une base scientifique unique, l’outil connecte défis industriels et stratégies inspirées du vivant, ouvrant de nouvelles perspectives d’innovation durable, notamment pour les pays en développement. Ce démonstrateur positionne le biomimétisme comme un levier majeur de la transition énergétique et écologique. À l’heure où la COP30, qui s’est achevée vendredi, plaçait le vivant au centre des enjeux climatiques, l’Université d’Oxford et la start-up française Asteria ont avancé une proposition rare dans le paysage de l’innovation : considérer la biodiversité non comme une ressource à exploiter, mais comme une bibliothèque de solutions éprouvées par 3,8 milliards d’années d’évolution. Autrement dit, la nature est inspirante pour que nous réussissions la tr...

Jojo le Mérou, le poisson-vedette du film «Le Monde du silence» du commandant Cousteau n'en reviendrait sans doute pas. Mais depuis le début du mois, tout un chacun peut explorer les fonds marins. En effet, Google a lancé la version 5.0 de son célèbre logiciel Google Earth qui, après la terre vue du ciel, permet désormais de donner à voir les océans en trois dimensions. ««Nous avons travaillé avec plus de 80 organismes scientifiques privés et publics», a précisé Florence Diss, responsable des partenariats géographiques pour Google France. La Cousteau Society est ainsi de la partie. Une vingtaine de zones sont particulièrement détaillées mais «Océan»fournit aussi aux utilisateurs des informations, des photos et des vidéos sur 20 thèmes ( zones marines protégées, observation de l'évolution de la faune ou encore les meilleurs emplacements de surfs dans le monde). Google Earth est disponible gratuitement en 40 langues. (http://earth.google.fr/).