Selon la dernière étude Global Digital Trust Insights 2026 de PwC, l’intelligence artificielle s’impose comme levier majeur de défense numérique. Mais la majorité des organisations restent vulnérables, faute de compétences et de stratégie claire. Face à une intensification sans précédent des menaces numériques, les entreprises accélèrent leurs efforts pour renforcer leur sécurité. D’après l’édition 2026 de l’étude Global Digital Trust Insights menée par PwC, si 78 % des organisations dans le monde prévoient d’augmenter leur budget cybersécurité cette année, seules 6 % se déclarent pleinement prêtes à affronter une cyberattaque majeure. Un chiffre qui illustre le décalage entre les ambitions stratégiques et la réalité opérationnelle. L’intelligence artificielle est LA priorité L’intelligence artificielle s’impose désormais comme LA priorité absolue des investissements cyber : 36 % des entreprises interrogées prévoient d’y consacrer une part croissante de le...

Sequoia. En choisissant comme nom pour son futur supercalculateur celui d'un des arbres les plus grands au monde, IBM a fixé une nouvelle limite dans la course à la puissance que se livrent les géants de l'informatique. Sept mois après avoir dévoilé le supercalculateur le plus puissant du monde, le "Roadrunner", à plus d'un petaflop par seconde, IBM, qui a signé le 4 février avec le Department of Energy, prépare un système doté d'une puissance de calcul de 20 petaflops par seconde, soit 20 millions de milliards d'opérations à virgule flottante par seconde. Une puissance jamais atteinte.
Le "Sequioa" sera disponible à l'horizon 2012. Il sera installé au Lawrence Livermore National Laboratory et aura pour principal objectif de simuler des explosions nucléaires pour le compte de chercheurs de la National Nuclear Safety Administration.
"Sequoia" sera équipé de 1,6 million coeurs, quand l'ordinateur de monsieur tout le monde en compte deux. Il aura 1,6 pétaOctets de mémoire. Le tout sera logé dans 96 armoires de calcul. Paradoxalement, même s'il est plus puissant que le "Roadrunner", il n'aura besoin que de 480 mètres carrés. Cela s'exp^lique par la loi de Moore, qui dit que l'on peut construire des systèmes deux fois plus de puissants sur la même surface de circuit tous les deux ans. Le "Sequioa" sera également plus économe en énergie puisqu'il n'utilisera que 6 megawatts par an, soit la consommation de 500 foyers.
A Toulouse, MeteoFrance dispose également d'un supercalculateur IBM, Blue Gene/L, installé depuis novembre 2007. Le "Sequioa" sera 17 fois plus puissant.