Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
Les pays anglo-saxons sont habitués à parier sur tout et n'importe quoi avec les bookmakers. La législation française interdit - en attendant une libéralisation - l'exercice de ces bookmakers en raison du monopole des paris sportifs attribués à la Française des jeux et au PMU. Mais rien n'empêche de se lancer des paris entre amis. Tel est l'objectif du site Paris d'amis (http://www.paridamis.com/). « Notre site propose aux internautes de parier gratuitement sur l'actualité (sportive, économique, sociétale ou autre) afin de gagner des cadeaux », explique Andrew Lam, qui met en avant le « positionnement convivial du site, associé à un mode de cotation inspiré des marchés boursiers. » Les membres peuvent créer leurs paris et parier grâce aux 10 000 PEZ offerts lors de l'inscription (les PEZ étant la monnaie virtuelle du site). Les PEZ seront convertis en cadeaux.