Mike_Shots/Shutterstock Par Caroline Diard , TBS Education et Vincent Meyer , EM Normandie Le contrat de travail donne à l’employeur un pouvoir de direction, incluant le contrôle des tâches effectuées en contrepartie d’une rémunération. Mais peut-on vraiment surveiller les télétravailleurs à leur insu ? La généralisation du télétravail a modifié le lieu d’exercice du travail – en mode nomade, à domicile, en tiers-lieu – et provoqué une imbrication des temps et espaces de vie. La banque états-unienne Wells Fargo a licencié une dizaine de collaborateurs au motif que ses salariés utilisaient un simulateur de mouvement de souris pour contrer le logiciel installé par leur employeur pour contrôler leur activité. Le géant bancaire brésilien Itaú a, quant à lui, tranché la question de la productivité de ses salariés en télétravail de façon radicale avec le licenciement de 1 000 salariés. Ces deux affaires très médiatisées interroge...

Les pays anglo-saxons sont habitués à parier sur tout et n'importe quoi avec les bookmakers. La législation française interdit - en attendant une libéralisation - l'exercice de ces bookmakers en raison du monopole des paris sportifs attribués à la Française des jeux et au PMU. Mais rien n'empêche de se lancer des paris entre amis. Tel est l'objectif du site Paris d'amis (http://www.paridamis.com/). « Notre site propose aux internautes de parier gratuitement sur l'actualité (sportive, économique, sociétale ou autre) afin de gagner des cadeaux », explique Andrew Lam, qui met en avant le « positionnement convivial du site, associé à un mode de cotation inspiré des marchés boursiers. » Les membres peuvent créer leurs paris et parier grâce aux 10 000 PEZ offerts lors de l'inscription (les PEZ étant la monnaie virtuelle du site). Les PEZ seront convertis en cadeaux.