Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...

L'une des principales caractéristiques des cartes géographiques de Google (les fameuses Google Maps) est qu'elles peuvent être interfacées avec des banques de données selon le principe du mashup. Ainsi, on peut avoir une carte de la région avec les meilleurs restaurants localisés. Mais là où l'idée devient intéressante, c'est lorsque l'on combine des cartes avec de grandes bases de données. C'est le cas de la base de connaissance mondiale Freebase qui propose désormais sur une cartographie de 50 siècles de guerres sur la planète. Sur www.conflicthistory.com, on visualise ainsi les champs de bataille, le nombre de morts au cours d'une frise historique qui conduit le visiteur de la guerre du Kurukshetra (-3 000 à -1 000 avant notre ère) jusqu'à la guerre en Afghanistan et au conflit israélo-palestinien. Une belle leçon d'histoire.