En matière de cloud et d'intelligence artificielle (IA), la régulation n’est pas un frein : tel est le message que Laure de La Raudière, présidente de l’Arcep, le gendarme français des Télécoms, est allée porter fin juin à Bruxelles devant les parlementaires européens. Alors que la Commission mène une consultation publique sur l’avenir des politiques en matière de cloud et d’IA, le régulateur français des télécoms défend l'idée de doter l’Europe d’un cadre économique pro-investissement, stable et ambitieux, au service de sa souveraineté technologique. Forte de son expérience dans le secteur des télécoms — où la régulation a permis à la France de devenir le premier pays européen en matière d’abonnements très haut débit —, l’Arcep plaide pour une approche transposable aux infrastructures numériques du futur. Car l’enjeu dépasse de loin le simple déploiement de serveurs ou d’algorithmes car il s’agit d’assurer l’autonomie stratégique de l’Union européenne dans un contexte de dépen...

La planète rouge n'en finit pas de fasciner et, en attendant que l'homme y pose son pied, les projets ne manquent pas pour la faire découvrir. Si Google propose de visualiser des prises de vue étonnantes (www.google.com/mars), la Nasa va beaucoup plus loin et propose aux internautes de devenir citoyens de Mars. L'objectif de l'agence spatiale américaine - à qui l'on doit déjà une superbe application pour l'iPhone - est multiple : faire du grand public un soutien pour des programmes spatiaux toujours très coûteux, faire œuvre de pédagogie et mettre à contribution les internautes. En effet, la Nasa espère que les internautes l'aideront à rendre plus précises les cartes de la planète à partir de l'analyse des milliers de données récoltées notamment par Global Mars Surveyor. Une initiative ludique et utile à la recherche. (http://beamartian.jpl.nasa.gov/).