Mike_Shots/Shutterstock Par Caroline Diard , TBS Education et Vincent Meyer , EM Normandie Le contrat de travail donne à l’employeur un pouvoir de direction, incluant le contrôle des tâches effectuées en contrepartie d’une rémunération. Mais peut-on vraiment surveiller les télétravailleurs à leur insu ? La généralisation du télétravail a modifié le lieu d’exercice du travail – en mode nomade, à domicile, en tiers-lieu – et provoqué une imbrication des temps et espaces de vie. La banque états-unienne Wells Fargo a licencié une dizaine de collaborateurs au motif que ses salariés utilisaient un simulateur de mouvement de souris pour contrer le logiciel installé par leur employeur pour contrôler leur activité. Le géant bancaire brésilien Itaú a, quant à lui, tranché la question de la productivité de ses salariés en télétravail de façon radicale avec le licenciement de 1 000 salariés. Ces deux affaires très médiatisées interroge...
Le terrible tremblement de terre en Haïti a montré combien les technologies de l'information et de la communication au premier rang desquelles internet, était crucial pour aider et informer dans l'urgence. Mais cela est aussi vrai sur le long terme. Dans cette optique le site GoodnessTV (www.goodnesstv.org/fr) prend tout son sens. Il s'agit là du YouTube de l'humanitaire, c'est-à-dire d'une plateforme qui accueille des vidéos relatives à des projets humanitaires. Lancé en septembre 2009 par le comédien Laurent Imbault, ce site basé à Montréal reçoit des vidéos du monde entier provenant d'Organisations non gouvernementales comme l'Unicef, Oxfam, l'UNHCR, Mano a Mano, Muhammad Yunus, etc. Environ un millier de vidéos est d'ores et déjà disponible. Un nombre qui devrait augmenter, le site étant membre du réseau videovolunteers.org.