Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...
Depuis le début du mois, les Français reçoivent les plaquettes tarifaires éditées par leurs banques. L'occasion de constater la hausse de plusieurs prestations, notamment pour les forfaits et les cartes, qui peuvent atteindre 25 % selon Les Échos. De quoi se laisser tenter par les banques en ligne aux tarifs plus avantageux ? Voire.
Même si les réseaux traditionnels avec agences de quartier ne semble pas encore menacés, ces nouvelles banques qui ne fonctionnent que sur internet séduisent petit à petit les Français. Certes, les clients de ces nouveaux établissements bancaires ne représentent que1 % des usagers (soit moins de 500 000 personnes) et nombreux sont ceux qui entendent rester fidèles et à leur agence et à leur conseiller.
Mais les habitudes sont là : internet est devenu le premier moyen pour entrer en contact avec son banquier. 50 % des personnes interrogées par le Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie) utilisent ainsi prioritairement internet pour consulter la situation de leurs comptes courants. Mais il existe encore une réticence à franchir le pas pour passer à une banque toute en ligne. Parmi les sondés qui envisagent de changer de banque, seuls 12 % opteraient pour une banque 100 % internet.
Pour autant, les banques traditionnelles investissent à fond dans la Toile. En prenant des participations (Boursorama est filiale de la Société générale, Monabanq a été rachetée par le Crédit Mutuel) ou en créant leurs propres banques en ligne : BforBank (Crédit Agricole), Groupama Banque, Net Agence (BNP Paribas). La Caisse d'Épargne présentera la sienne la semaine prochaine.
Selon le cabinet Sia Conseil, ce développement des banques virtuelles, combiné à d'autres facteurs (concentration, réduction de coûts, hausse du nombre d'intermédiaires de crédit, automatisation, etc.) pourrait entraîner la fermeture de 750 à 1 100 agences d'ici 2 012. Paradoxalement, les banques virtuelles pourraient ouvrir des agences en dur, comme Boursorama. Car tous les établissements bancaires privilégient une relation multicanal, où internet est un moyen de relation parmi d'autres.
Reste que les offres de bienvenue des banques en ligne (carte de paiement internationale gratuite, nombreux services gratuits ou bon marché) pourraient séduire au-delà de la cible actuelle des technophiles urbains aisés.
Même si les réseaux traditionnels avec agences de quartier ne semble pas encore menacés, ces nouvelles banques qui ne fonctionnent que sur internet séduisent petit à petit les Français. Certes, les clients de ces nouveaux établissements bancaires ne représentent que1 % des usagers (soit moins de 500 000 personnes) et nombreux sont ceux qui entendent rester fidèles et à leur agence et à leur conseiller.
Mais les habitudes sont là : internet est devenu le premier moyen pour entrer en contact avec son banquier. 50 % des personnes interrogées par le Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie) utilisent ainsi prioritairement internet pour consulter la situation de leurs comptes courants. Mais il existe encore une réticence à franchir le pas pour passer à une banque toute en ligne. Parmi les sondés qui envisagent de changer de banque, seuls 12 % opteraient pour une banque 100 % internet.
Pour autant, les banques traditionnelles investissent à fond dans la Toile. En prenant des participations (Boursorama est filiale de la Société générale, Monabanq a été rachetée par le Crédit Mutuel) ou en créant leurs propres banques en ligne : BforBank (Crédit Agricole), Groupama Banque, Net Agence (BNP Paribas). La Caisse d'Épargne présentera la sienne la semaine prochaine.
Selon le cabinet Sia Conseil, ce développement des banques virtuelles, combiné à d'autres facteurs (concentration, réduction de coûts, hausse du nombre d'intermédiaires de crédit, automatisation, etc.) pourrait entraîner la fermeture de 750 à 1 100 agences d'ici 2 012. Paradoxalement, les banques virtuelles pourraient ouvrir des agences en dur, comme Boursorama. Car tous les établissements bancaires privilégient une relation multicanal, où internet est un moyen de relation parmi d'autres.
Reste que les offres de bienvenue des banques en ligne (carte de paiement internationale gratuite, nombreux services gratuits ou bon marché) pourraient séduire au-delà de la cible actuelle des technophiles urbains aisés.