Dans Mission Impossible : The Final Reckoning , comme souvent, le septième art façonne notre peur de l’intelligence artificielle. Paramount Pictures Par Mehdi Achouche , Université Sorbonne Paris Nord Depuis Alphaville (1965) jusqu’à Terminator (1984), le cinéma exorcise ses angoisses en prêtant aux cerveaux mécaniques un pouvoir froid et totalitaire. Mission Impossible : The Final Reckoning ravive aujourd’hui ce vieux mythe : une IA tentaculaire s’empare des réseaux militaires et menace l’ordre mondial. Retour sur soixante ans d’écrans hantés par la même question : que devient l’humain quand la machine pense à sa place ? Le cinéma s’intéresse aux créatures artificielles depuis ses débuts , mais ce qui peut plus rigoureusement être qualifié d’intelligence artificielle (IA) est un thème qui date des années 1960. Alors que robots et androïdes sont facilement utilisés comme la métaphore du prolétari...
Internet regorge de pépites poétiques comme vient de le démontrer l’auteur-compositeur américain Éric Whitacre. Ce dernier vient de réussir un pari fou : créer un chœur de 185 choristes sur Youtube, le site de partage de vidéos. Chaque chanteur, recruté après casting, s’est calé devant son ordinateur et avec sa webcam s’est filmé en train de chanter sa partition a cappella. Éric Whitacre a ensuite fait un long travail de montage avec un studio de 243 pistes. À écouter ici : http://tinyurl.com/yhlaqzn.