Après un accord de spectre de 17 milliards de dollars, Elon Musk projette de transformer Starlink en opérateur sans fil capable de connecter directement chaque smartphone à sa constellation de satellites. Un bouleversement qui questionne la souveraineté numérique européenne et l’avenir des télécommunications terrestres. Le fantasque milliardaire Elon Musk se lance dans un nouveau projet qui pourrait bouleverser l’écosystème mondial des télécommunications. SpaceX, maison-mère de la constellation de satellites Starlink, a, en effet, acquis cette semaine auprès d’EchoStar des droits de spectre sans fil pour 17 milliards de dollars. Cet accord offre à l’entreprise l’accès aux fréquences AWS-4 et H-block, situées entre 1,9 GHz et 2 GHz. Elon Musk y voit la clé pour faire de Starlink non plus un fournisseur d’accès Internet par satellite, mais un opérateur mondial capable de connecter directement les smartphones. La fin des zones blanches Le projet repose sur une idée radicale : c...
Leurs petites entreprises ne connaissent pas la crise ; en tout cas pas celle de la volonté à être présent sur internet. En effet, pour la 4e année consécutive, la société Doyousoft, installée à Béziers et spécialiste de la création de site internet pour les entreprises, vient de publier son enquête sur l'activité du e-commerce dans les TPE-PME de moins de 20 salariés. 1 890 sites en régions ont été auscultés et le Grand Sud tire très bien son épingle du jeu. Si en France, le nombre de sites web marchands a augmenté de +31 %, l'Aquitaine se hisse en première position nationale avec un boom de +49 % ! Midi-Pyrénées n'est pas très loin à +38 %. Le Languedoc-Roussillon est un peu en retrait à +24 %, mais reste dans les 10 régions les plus dynamiques.
« Les résultats de cette grande enquête montrent que le succès du e-commerce ne concerne pas que les grands comptes. Les TPE-PME mesurent les bénéfices du e-commerce à leur propre échelle. Faisant preuve de beaucoup plus de pragmatisme que les grands comptes, elles voient dans l'e-commerce une source conséquente de revenus complémentaires, constituant parfois un moyen de survie, particulièrement en période de crise », analyse Stéphane Escoffier, directeur général de Doyousoft, qui estime que « les PME françaises sont en train de rattraper leur retard. »
Avoir un site internet permet aux marchands d'étendre considérablement leur zone de chalandise, au niveau national, mais aussi à l'étranger (dont pour moitié dans des pays de l'Union européenne. Ainsi 63 % des sites aquitains exportent leurs produits. En Midi-Pyrénées, 61 % des sites vendent à l'étranger et ils sont 56 % à le faire en Languedoc-Roussillon.
L'enquête montre par ailleurs que le panier moyen est quasiment stable, passant de 133 € en 2008 à 136 € en 2009.
« C'est donc bien le nombre total de transactions qui explique la progression des ventes », indique l'étude, mettant en exergue deux phénomènes : la fidélisation de plus en plus importante des clients ; et la démocratisation du e-commerce qui va de pair avec une confiance accrue dans l'achat en ligne, aujourd'hui bien sécurisé.
Le chèque a encore la cote
La sécurisation des transactions sur les sites internet d'e-commerce a permis de mettre en confiance les internautes. 89 % des commandes sont ainsi réglées avec un moyen de paiement électronique (carte bancaire). Mais 19 % sont toujours réglées par chèque ou virement.
« Les résultats de cette grande enquête montrent que le succès du e-commerce ne concerne pas que les grands comptes. Les TPE-PME mesurent les bénéfices du e-commerce à leur propre échelle. Faisant preuve de beaucoup plus de pragmatisme que les grands comptes, elles voient dans l'e-commerce une source conséquente de revenus complémentaires, constituant parfois un moyen de survie, particulièrement en période de crise », analyse Stéphane Escoffier, directeur général de Doyousoft, qui estime que « les PME françaises sont en train de rattraper leur retard. »
Avoir un site internet permet aux marchands d'étendre considérablement leur zone de chalandise, au niveau national, mais aussi à l'étranger (dont pour moitié dans des pays de l'Union européenne. Ainsi 63 % des sites aquitains exportent leurs produits. En Midi-Pyrénées, 61 % des sites vendent à l'étranger et ils sont 56 % à le faire en Languedoc-Roussillon.
L'enquête montre par ailleurs que le panier moyen est quasiment stable, passant de 133 € en 2008 à 136 € en 2009.
« C'est donc bien le nombre total de transactions qui explique la progression des ventes », indique l'étude, mettant en exergue deux phénomènes : la fidélisation de plus en plus importante des clients ; et la démocratisation du e-commerce qui va de pair avec une confiance accrue dans l'achat en ligne, aujourd'hui bien sécurisé.
Le chèque a encore la cote
La sécurisation des transactions sur les sites internet d'e-commerce a permis de mettre en confiance les internautes. 89 % des commandes sont ainsi réglées avec un moyen de paiement électronique (carte bancaire). Mais 19 % sont toujours réglées par chèque ou virement.