Après un accord de spectre de 17 milliards de dollars, Elon Musk projette de transformer Starlink en opérateur sans fil capable de connecter directement chaque smartphone à sa constellation de satellites. Un bouleversement qui questionne la souveraineté numérique européenne et l’avenir des télécommunications terrestres. Le fantasque milliardaire Elon Musk se lance dans un nouveau projet qui pourrait bouleverser l’écosystème mondial des télécommunications. SpaceX, maison-mère de la constellation de satellites Starlink, a, en effet, acquis cette semaine auprès d’EchoStar des droits de spectre sans fil pour 17 milliards de dollars. Cet accord offre à l’entreprise l’accès aux fréquences AWS-4 et H-block, situées entre 1,9 GHz et 2 GHz. Elon Musk y voit la clé pour faire de Starlink non plus un fournisseur d’accès Internet par satellite, mais un opérateur mondial capable de connecter directement les smartphones. La fin des zones blanches Le projet repose sur une idée radicale : c...
La fracture numérique entre des villes bénéficiant du très haut débit par fibre et des campagnes mal ou pas couvertes est l'une des priorités du Grand emprunt. Hier, Michel Mercier, ministre de l'Espace rural et de l'Aménagement du territoire et Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, ont dévoilé la liste des 34 collectivités territoriales lauréates de l'appel à projets en faveur du haut débit dans les zones rurales. Elles bénéficieront de 30 millions d'euros du Fonds européen agricole pour le développement rural (FEADER). En Midi-Pyrénées, trois départements sont intéressés par ce dispositif : l'Ariège, l'Aveyron et le Lot.
Le conseil général de l'Ariège, avec une enveloppe de 978 508 €, va résorber ses zones blanches et étendre la dorsale de son réseau afin que celui-ci atteigne des débits allant de 512 Kbits/s à 20 Mbits/s. Selon le dernier diagnostic de l'Ardesi, l'Ariège est l'un des départements les plus dynamiques avec 77,28 % de la population couverte en 2009.
Le conseil général de l'Aveyron, avec une enveloppe de 978 508 €, va brancher 24 communes très rurales sur du haut débit à 2 Mbits/s minimum avec la perspective d'une montée en débit.
Enfin, le conseil général du Lot, dans la continuité d'un programme lancé en 2006, va investir 1 M€ dans des infrastructures dans l'est du territoire. Ce projet va permettre de finaliser une boucle régionale Cahors, Figeac, Albi, Toulouse, Montauban qui garantira la sécurisation du réseau.
Ces projets de couverture en haut débit préparent également la transition vers le très haut débit qui fait l'objet d'un programme national annoncé par le gouvernement le 14 juin 2010.
Le conseil général de l'Ariège, avec une enveloppe de 978 508 €, va résorber ses zones blanches et étendre la dorsale de son réseau afin que celui-ci atteigne des débits allant de 512 Kbits/s à 20 Mbits/s. Selon le dernier diagnostic de l'Ardesi, l'Ariège est l'un des départements les plus dynamiques avec 77,28 % de la population couverte en 2009.
Le conseil général de l'Aveyron, avec une enveloppe de 978 508 €, va brancher 24 communes très rurales sur du haut débit à 2 Mbits/s minimum avec la perspective d'une montée en débit.
Enfin, le conseil général du Lot, dans la continuité d'un programme lancé en 2006, va investir 1 M€ dans des infrastructures dans l'est du territoire. Ce projet va permettre de finaliser une boucle régionale Cahors, Figeac, Albi, Toulouse, Montauban qui garantira la sécurisation du réseau.
Ces projets de couverture en haut débit préparent également la transition vers le très haut débit qui fait l'objet d'un programme national annoncé par le gouvernement le 14 juin 2010.