Une étude sectorielle de l’Afnic met en lumière le décalage croissant entre viticulteurs et reste du monde agricole en matière de présence en ligne. Très équipés, offensifs sur la publicité et structurés dans leur stratégie numérique, ils démontrent le potentiel encore largement sous-exploité du web dans l’agriculture. Dans un paysage agricole où la transition numérique demeure inégale, les viticulteurs apparaissent comme un groupe particulièrement en avance sur internet. L’étude sectorielle de l’Afnic (Association Française pour le Nommage Internet en Coopération, qui gère les sites web en. fr), menée auprès de 1 002 TPE et PME du secteur entre juillet et août 2025, dresse un contraste net entre la filière viticole et l’ensemble des agriculteurs. Avec 79 % de sites internet actifs, contre seulement 27 % pour le reste du secteur, les viticulteurs ont ainsi fait du web un véritable levier d’activité. Leur présence sur les réseaux sociaux atteint 92 %, là où la m...
Le développement économique fulgurant du pays le plus peuplé de la planète se traduit sur les routes des métropoles chinoises par des embouteillages monstres – 10 millions de voitures ont été vendues l’an passé – et une pollution conséquente. Pour résoudre ces deux problèmes majeurs, la société Shenzhen Hashi Future Parking Equipment Co. vient d’imaginer le projet fou d’un bus géant dont la vidéo de présentation, dévoilé à l’International High-Tech expo de Pékin, suscite un buzz important sur internet.
Concrètement, il s’agit d’une sorte de tramway géant articulé de 6 mètres de large pour 4,5 à 5,5 mètres de haut, qui surplombe la chaussée et qui permet aux automobiles de passer dessous. Ainsi, à aucun moment, ce bus qui roule à 40 km/h, ne bloque la circulation. Les stations seront construites en hauteur et les passagers – jusqu’à 1 400 – embarqueront par des portes latérales ou par le toit ! Le bus fonctionne à l’électricité via un ingénieux système de batteries qui se rechargent lors de l’arrêt à chaque station.
Selon Song Youzhou, le PDG de la société, ce bus pourrait réduire de 25 à 30 % les embouteillages et son déploiement serait rapide et bon marché par rapport au métro : un an pour construire 40 km de voie pour 500 millions de yuans (56M€).
Toutes les phases techniques ayant été validées, un district de Pékin va construire 186 km de rails d’ici la fin de l’année.
Concrètement, il s’agit d’une sorte de tramway géant articulé de 6 mètres de large pour 4,5 à 5,5 mètres de haut, qui surplombe la chaussée et qui permet aux automobiles de passer dessous. Ainsi, à aucun moment, ce bus qui roule à 40 km/h, ne bloque la circulation. Les stations seront construites en hauteur et les passagers – jusqu’à 1 400 – embarqueront par des portes latérales ou par le toit ! Le bus fonctionne à l’électricité via un ingénieux système de batteries qui se rechargent lors de l’arrêt à chaque station.
Selon Song Youzhou, le PDG de la société, ce bus pourrait réduire de 25 à 30 % les embouteillages et son déploiement serait rapide et bon marché par rapport au métro : un an pour construire 40 km de voie pour 500 millions de yuans (56M€).
Toutes les phases techniques ayant été validées, un district de Pékin va construire 186 km de rails d’ici la fin de l’année.
