Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
Des escrocs proposent sur Facebook un faux bouton « Je n'aime pas », sur le modèle du très populaire « J'aime » afin de récolter des informations personnelles (e-mail, numéro de téléphone, loisirs, habitudes de consommation) à des fins criminelles, ont averti le célèbre réseau social aux 500 millions de membres et la firme de sécurité informatique Sophos. L'arnaque est d'autant plus pernicieuse que certains membres du réseau social réclament un bouton du type « je n'aime pas », selon Sophos.