Après un accord de spectre de 17 milliards de dollars, Elon Musk projette de transformer Starlink en opérateur sans fil capable de connecter directement chaque smartphone à sa constellation de satellites. Un bouleversement qui questionne la souveraineté numérique européenne et l’avenir des télécommunications terrestres. Le fantasque milliardaire Elon Musk se lance dans un nouveau projet qui pourrait bouleverser l’écosystème mondial des télécommunications. SpaceX, maison-mère de la constellation de satellites Starlink, a, en effet, acquis cette semaine auprès d’EchoStar des droits de spectre sans fil pour 17 milliards de dollars. Cet accord offre à l’entreprise l’accès aux fréquences AWS-4 et H-block, situées entre 1,9 GHz et 2 GHz. Elon Musk y voit la clé pour faire de Starlink non plus un fournisseur d’accès Internet par satellite, mais un opérateur mondial capable de connecter directement les smartphones. La fin des zones blanches Le projet repose sur une idée radicale : c...
Au surlendemain de l'annonce par son PDG Marck Zuckerberg du lancement d'un service de messagerie universelle, Facebook a présenté marcredi 17 novembre devant le 32e Digiworld Summit de l'Idate, à Montpellier, les éléments de sa stratégie pour les années à venir.
Henri Moissinac, patron de la division mobile du plus célèbres des réseaux sociaux, a d'emblée sondée la salle pour savoir qui avait un compte Facebook et qui utilisait sa version mobile. La majorité des personnes présente utilise cette dernière possibilité (via les applications dédiées pour iPhone, Android ou le site web mobile), comme 200 millions de personnes dans le monde.
"On est passé d'un internet statique il y a 5 ans à un internet social d'échange", explique M. Moissinac, qui a indiqué que Facebook "veut aller plus loin sur les mobiles" en terme d'interactions avec les fonctionnalités des smartphones. Il n'a toutefois pas indiqué si Facebook développerait un jour son propre système d'exploitation pour mobile.
En revanche, pour séduire les utilisateurs mobiles qui sont deux fois plus engagés que les autres, Facebook a développer de nouveaux outils comme Places (géolocalisation et partage de positions) et Deals, un service pas encore disponible en Europe qui veut mettre en relation les consommateurs et les boutiques. Ainsi, on pourrait présenter son mobile à la caissière d'un magasin pour bénéficier d'une promotion ; une sorte de couponing numérique. "Tout ce qui est mobile sera social", assure Henri Moissinac.
Facebook entend également promouvoir le développement des applications, fonctionnant tant sur mobile, sur PC que sur consoles de jeux. "Local + mobile + social ; voilà la stratégie de Facebook dans les années à venir."
Henri Moissinac, patron de la division mobile du plus célèbres des réseaux sociaux, a d'emblée sondée la salle pour savoir qui avait un compte Facebook et qui utilisait sa version mobile. La majorité des personnes présente utilise cette dernière possibilité (via les applications dédiées pour iPhone, Android ou le site web mobile), comme 200 millions de personnes dans le monde.
"On est passé d'un internet statique il y a 5 ans à un internet social d'échange", explique M. Moissinac, qui a indiqué que Facebook "veut aller plus loin sur les mobiles" en terme d'interactions avec les fonctionnalités des smartphones. Il n'a toutefois pas indiqué si Facebook développerait un jour son propre système d'exploitation pour mobile.
En revanche, pour séduire les utilisateurs mobiles qui sont deux fois plus engagés que les autres, Facebook a développer de nouveaux outils comme Places (géolocalisation et partage de positions) et Deals, un service pas encore disponible en Europe qui veut mettre en relation les consommateurs et les boutiques. Ainsi, on pourrait présenter son mobile à la caissière d'un magasin pour bénéficier d'une promotion ; une sorte de couponing numérique. "Tout ce qui est mobile sera social", assure Henri Moissinac.
Facebook entend également promouvoir le développement des applications, fonctionnant tant sur mobile, sur PC que sur consoles de jeux. "Local + mobile + social ; voilà la stratégie de Facebook dans les années à venir."