Par Arnaud Marquant, directeur des opérations KB Crawl SAS À l'aube d'une nouvelle ère numérique, la Journée mondiale de la sauvegarde des données, célébrée le 31 mars, nous offre un moment de réflexion critique sur notre rapport aux données. Dans une époque marquée par une digitalisation accrue, la sauvegarde des données se positionne au cœur des débats sur la sécurité, la conformité et la continuité des activités. De bonnes pratiques de sauvegarde essentielles La sauvegarde des données commence par des gestes simples mais cruciaux d'hygiène numérique, préconisés par des institutions telles que l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) en France. Ces mesures de base incluent la réalisation de copies de sauvegarde régulières, la mise à jour des systèmes et des applications, ainsi que la sensibilisation à la cybersécurité. Le renforcement du cadre juridique autour de la gestion des données personnelles, comme le Règlement général sur la pro
Ce sondage a tout d’abord permis de dresser un « portait » des blogueurs, rétablissant ainsi certaines vérités ! La motivation des blogueurs : 80% d’entre eux le font pour échanger et partager sur leur passion. Autre enseignement, l’aspect financier : 60% ne perçoivent aucune rémunération grâce à leur blog.
Cette implication personnelle et sans rétribution financière engage d’autant plus les annonceurs et les agences à être particulièrement vigilants sur leurs sollicitations.
En effet, l’autre enseignement fort de ce sondage est sans nul doute le fait que les blogueurs aspirent à de meilleures relations avec les agences et les annonceurs. Dans cette optique, près des 3/4 des blogueurs (73,13%) aimeraient plus de personnalisation lorsqu’ils sont contactés. Cette personnalisation de la relation avec les blogueurs doit également s’inscrire dans une approche plus qualitative : plus de la moitié des répondants (55,22%) souhaitent que les annonceurs et les agences ciblent mieux leurs demandes, voire même que les demandes soient plus claires (36,57%).