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Aux sources de l’IA : le prix Nobel de physique attribué aux pionniers des réseaux de neurones artificiels et de l’apprentissage machine

  Portraits de John Hopfield et Geoffrey Hinton, lauréats du prix Nobel de physique 2024 pour leurs découvertes et inventions qui ont permis de développer l'apprentissage machine avec des réseaux de neurones artificiels. Niklas Elmehed © Nobel Prize Outreach Par  Thierry Viéville , Inria Le prix Nobel de physique 2024 récompense des travaux précurseurs de John Hopfield et Geoffrey Hinton sur les réseaux de neurones artificiels, à la base de l’apprentissage machine. Ces travaux ont participé au développement de l’intelligence artificielle, qui chamboule aujourd’hui de nombreux secteurs d’activité. C’est à une question simple que John Hopfield et Geoffrey Hinton ont apporté une réponse qui leur vaut aujourd’hui le prix Nobel de physique : « Quelle est la description la plus simple que nous pourrions faire de nos neurones, ces composants du cerveau, siège de notre intelligence ? » Un neurone, qu’il soit artificiel ou biologique, est u

Les clusters DigitalPlace et FrenchSouth.digital signent un partenariat


La grande région réunissant Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon se construit y compris dans le domaine de l'innovation. Ainsi, DigitalPlace et FrenchSouth.digital, les clusters des deux régions viennent de signer une convention de partenariat, le 3 juin à Toulouse lors de l'Assemblée Générale de DigitalPlace et le 4 juin à l'occasion du salon Connec'Sud à Montpellier.

"DigitalPlace et FrenchSouth.digital ont décidé de renforcer leur collaboration stratégique afin de développer des synergies en faveur de la croissance de leurs entreprises adhérentes. A partir de valeurs communes partagées, les deux clusters font exister la 2ème région numérique de France", expliquent les signataires.

Pour Daniel Benchimol, Président de DigitalPlace, cette signature de convention se situe dans la logique des actions menées par FrenchSouth.digital et DigitalPlace «  Nos clusters ont saisi l'importance de pouvoir développer des actions communes et de mutualiser certains de nos moyens, notamment lors d'évènements d'envergure. Ce rapprochement est devenu une évidence, il est indispensable de travailler de manière synchronisée afin de nous rendre plus visibles. Les clusters du numérique se doivent de s'unir afin de dynamiser la filière au sein d'une plus grande région. Cette démarche proactive, montre une fois de plus la dynamique du secteur digital qui a su anticiper la future grande région. »

Les objectifs de ce partenariat s'articulent autour de 4 axes communs :

  • l'innovation sous toutes ses formes
  • l'international
  • l'investissement et le financement de la croissance
  • la mutualisation de services

Ainsi, la participation commune à des salons, une offre de services aux entreprises (financement, gestion RH, relations presse ou encore accompagnement à l'obtention du label Cloud) et ateliers d'experts seront proposés aux membres des deux clusters.

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Le bipeur des années 80 plus efficace que le smartphone ?

Par André Spicer, professeur en comportement organisationnel à la Cass Business School (City University of London) : Vous vous souvenez des bipeurs ? Ces appareils étaient utilisés largement avant l'arrivée massive des téléphones portables et des SMS. Si vous aviez un bipeur, vous pouviez recevoir des messages simples, mais vous ne pouviez pas répondre. Un des rares endroits où on peut encore en trouver aujourd’hui sont les hôpitaux. Le Service National de Santé au Royaume-Uni (National Health Service) en utilise plus de 130 000. Cela représente environ 10 % du nombre total de bipeurs présents dans le monde. Une récente enquête menée au sein des hôpitaux américains a révélé que malgré la disponibilité de nombreuses solutions de rechange, les bipeurs demeurent le moyen de communication le plus couramment utilisée par les médecins américains. La fin du bipeur dans les hôpitaux britanniques ? Néanmoins, les jours du bipeur dans les hôpitaux britanniques pourraient être compté

Quelle technologie choisir pour connecter les objets ?

Par Frédéric Salles, Président et co-fondateur de Matooma   En 2021, le nombre total d'objets connectés utilisés atteindra les 25 milliards selon Gartner. Il est ainsi légitime de se demander quelles sont les technologies principales permettant de connecter les objets, et quelle pourrait être celle la plus adaptée pour sa solution. Un projet de vidéosurveillance par exemple n'aura absolument pas les mêmes besoins qu'un projet basé sur le relevé de température au milieu du désert. Ainsi pour trouver la meilleure connectivité pour son objet, de nombreuses questions peuvent se poser : mon objet fonctionne-t-il sur batterie ou est-il alimenté ? Mon objet restera-t-il statique ou sera-t-il mobile ?  Mon objet est-il susceptible d'être dans un endroit difficile d'accès ou enterré ? A quelle fréquence mes données doivent-elles remonter ? Etc. Voici les différentes solutions actuellement disponibles sur le marché. Courte distance : RFID/Bluetooth/WiFi La RFID (Ra

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De quoi l’inclusion numérique est-elle le nom ?

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