Après un accord de spectre de 17 milliards de dollars, Elon Musk projette de transformer Starlink en opérateur sans fil capable de connecter directement chaque smartphone à sa constellation de satellites. Un bouleversement qui questionne la souveraineté numérique européenne et l’avenir des télécommunications terrestres. Le fantasque milliardaire Elon Musk se lance dans un nouveau projet qui pourrait bouleverser l’écosystème mondial des télécommunications. SpaceX, maison-mère de la constellation de satellites Starlink, a, en effet, acquis cette semaine auprès d’EchoStar des droits de spectre sans fil pour 17 milliards de dollars. Cet accord offre à l’entreprise l’accès aux fréquences AWS-4 et H-block, situées entre 1,9 GHz et 2 GHz. Elon Musk y voit la clé pour faire de Starlink non plus un fournisseur d’accès Internet par satellite, mais un opérateur mondial capable de connecter directement les smartphones. La fin des zones blanches Le projet repose sur une idée radicale : c...
Avis d'expert. Une entreprise sur dix possède au moins un terminal infecté ayant accès aux données d'entreprise
Les données contenues dans le rapport « L'état de la sécurité des applis » de MobileIron révèlent qu'une entreprise sur dix possède au moins un terminal infecté ayant accès aux données d'entreprise. MobileIron dresse par ailleurs la liste des principales applis grand public blacklistées.
« Dans la mesure où de plus en plus de processus commerciaux sont mobilisés, les hackers s'intéressent aux applis mobiles afin de profiter de l'incapacité des entreprises à prévenir et à détecter les menaces mobiles » a déclaré Mike Raggo, directeur de la recherche sur la sécurité chez MobileIron. « Afin de protéger les données sensibles contre les menaces de demain, les entreprises doivent repenser leur approche en matière de sécurité en adoptant une architecture mobile fondamentalement différente. »
Principales applis grand public blacklistées
Les collaborateurs sont susceptibles de stocker des documents professionnels sur des applis personnelles de synchronisation et de partage de fichiers d'entreprise (EFSS), ce qui contribue à placer des données professionnelles sensibles en dehors du cadre de la protection du service informatique. Cinq des dix premières applis grand public blacklistées par les clients de MobileIron sont des applis EFSS.
« Les versions grand public des applis EFSS effraient les départements informatiques dans la mesure où des données professionnelles sont susceptibles d'être égarer. Heureusement, les versions d'entreprise d'un grand nombre de ces applis sont disponibles, » a déclaré Raggo. « Les entreprises sont en mesure d'offrir à leurs collaborateurs l'expérience qu'ils désirent tout en protégeant leurs données d'entreprise, mais ceci exige une transformation de l'état d'esprit qui consiste à passer de la restriction à l'autorisation. »
« Dans la mesure où de plus en plus de processus commerciaux sont mobilisés, les hackers s'intéressent aux applis mobiles afin de profiter de l'incapacité des entreprises à prévenir et à détecter les menaces mobiles » a déclaré Mike Raggo, directeur de la recherche sur la sécurité chez MobileIron. « Afin de protéger les données sensibles contre les menaces de demain, les entreprises doivent repenser leur approche en matière de sécurité en adoptant une architecture mobile fondamentalement différente. »
Principales applis grand public blacklistées
Les collaborateurs sont susceptibles de stocker des documents professionnels sur des applis personnelles de synchronisation et de partage de fichiers d'entreprise (EFSS), ce qui contribue à placer des données professionnelles sensibles en dehors du cadre de la protection du service informatique. Cinq des dix premières applis grand public blacklistées par les clients de MobileIron sont des applis EFSS.
« Les versions grand public des applis EFSS effraient les départements informatiques dans la mesure où des données professionnelles sont susceptibles d'être égarer. Heureusement, les versions d'entreprise d'un grand nombre de ces applis sont disponibles, » a déclaré Raggo. « Les entreprises sont en mesure d'offrir à leurs collaborateurs l'expérience qu'ils désirent tout en protégeant leurs données d'entreprise, mais ceci exige une transformation de l'état d'esprit qui consiste à passer de la restriction à l'autorisation. »