Par Kathleen Desveaud , Kedge Business School L’intelligence artificielle promet un soulagement face à l’ennui des tâches répétitives au travail, mais son usage excessif pourrait entraîner une déqualification progressive et une nouvelle forme de frustration professionnelle. Entre automatisation bénéfique et risque de « travail zombie », comment faire de l’IA un allié du développement des compétences plutôt qu’une source d’appauvrissement cognitif ? L’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur les métiers est un sujet majeur , qui a été traité dans de nombreuses études . Si la question de la disparition des emplois retient souvent l’attention, une autre question de fond mérite d’être considérée : comment ces technologies transforment et transformeront-elles concrètement le quotidien, les compétences et la motivation des travailleurs ? L’IA, un remède contre l’ennui au travail ? L’IA est parfois présentée comme un parfait remède a...
Les réseaux sociaux et plus particulièrement Facebook sont l'un des lieux de discussions politiques les plus actifs, que ce soit pour la présidentielle ou la primaire de la droite. D'ailleurs tous les candidats utilisent le réseau social comme relai, par exemple Nicolas Sarkozy qui a souvent fait ses annonces sur sa page Facebook.
En partenariat avec la presse régionale, France TV et Europe 1, Facebook France a observé le volume des conversations de ses membres pour en extraire un certain nombre de données sur la primaire de la droite dont le 3e et dernier débat aura lieu le 17 novembre.
Le premier graphique en illustration de cet article montre l’évolution de la discussion autour des différents candidats depuis le 12 octobre. Nicolas Sarkozy domine les conversations (ce qui ne signifie pas une adhésion à ses idées), devant Alain Juppé, François Fillon et Bruno Le Maire. A noter dans ce graphique le pic observé par Jean-François Copé le 24 octobre. C'est la sortie du maire de Meaux sur le prix des pains au chocolat qu'il estimait à 15 centimes d'euros, qui lui doit ce score spectaculaire.
En évaluant le volume de conversation, Facebook a construit des cartes de France dites thermiques, c'est-à-dire montrant les départements où l'un des 7 candidats occupe le plus les conversations. Si la carte de Jean-François Copé comporte plus de zones foncées que celle de Nicolas Sarkozy par exemple, cela ne signifie pas que les Français ont plus parlé du premier que du second. Elles montrent simplement quelles sont les régions qui ont le plus parlé de tel ou tel candidat.