Une nouvelle étude commandée par Alteryx , la plateforme d'IA pour l'analyse d'entreprise en France, révèle que les organisations ne sont pas prêtes à tirer parti de l'IA générative en raison de leurs données. Le rapport " Data Stack Evolution : Legacy Challenges and AI Opportunities", qui a interrogé 3 100 leaders mondiaux de l'informatique, a mis en évidence des obstacles qui empêchent le déploiement réussi de l'IA générative, notamment la gestion des piles de données, la stratégie technologique et les cultures d'entreprise. Un manque de confiance envers les piles de données L’étude souligne un décalage important entre la confiance que les responsables informatiques mondiaux accordent à leurs données et la réalité de leurs piles de données. En France, alors que 43% des répondants qualifient la maturité de leurs données comme étant "bonne" ou "avancée" et que 68% ont confiance dans leurs données, un cinquième a tout de même évo
Les réseaux sociaux et plus particulièrement Facebook sont l'un des lieux de discussions politiques les plus actifs, que ce soit pour la présidentielle ou la primaire de la droite. D'ailleurs tous les candidats utilisent le réseau social comme relai, par exemple Nicolas Sarkozy qui a souvent fait ses annonces sur sa page Facebook.
En partenariat avec la presse régionale, France TV et Europe 1, Facebook France a observé le volume des conversations de ses membres pour en extraire un certain nombre de données sur la primaire de la droite dont le 3e et dernier débat aura lieu le 17 novembre.
Le premier graphique en illustration de cet article montre l’évolution de la discussion autour des différents candidats depuis le 12 octobre. Nicolas Sarkozy domine les conversations (ce qui ne signifie pas une adhésion à ses idées), devant Alain Juppé, François Fillon et Bruno Le Maire. A noter dans ce graphique le pic observé par Jean-François Copé le 24 octobre. C'est la sortie du maire de Meaux sur le prix des pains au chocolat qu'il estimait à 15 centimes d'euros, qui lui doit ce score spectaculaire.
En évaluant le volume de conversation, Facebook a construit des cartes de France dites thermiques, c'est-à-dire montrant les départements où l'un des 7 candidats occupe le plus les conversations. Si la carte de Jean-François Copé comporte plus de zones foncées que celle de Nicolas Sarkozy par exemple, cela ne signifie pas que les Français ont plus parlé du premier que du second. Elles montrent simplement quelles sont les régions qui ont le plus parlé de tel ou tel candidat.