Le partenariat entre l’Élysée et Epitech marque une première en France. Lors du hackathon "Données publiques", 850 étudiants ont travaillé sur l’anticipation des besoins de vaccination. Trois équipes seront récompensées pour leur impact sur la stratégie vaccinale. L’Élysée et l’école supérieure d’informatique Epitech ont dévoilé un partenariat inédit à l’occasion de la finale du hackathon "Données publiques au service de l’intérêt général". L’événement, conduit avec le DataLab de la Présidence, marque une première en France : jamais une école d’informatique n’avait été associée à l’organisation d’un hackathon élyséen. Anticiper les besoins de vaccination Du 20 au 22 octobre derniers, quinze campus Epitech ont ainsi accueilli simultanément la première étape du hackathon. Sur les 6 000 étudiants de l’établissement, 850 participants issus de spécialités variées – data et intelligence artificielle, cybersécurité, cloud, développement ou transformation digitale – ont...
Les experts sécurité du G DATA Security Labs ont recensé 1 852 945 nouveaux types de programmes malveillants au cours du 1er trimestre 2017, soit un nouveau code toutes les 4,2 secondes. Un nouveau record est à prévoir pour l’année 2017 avec des projections qui tablent sur 7,41 millions de nouveaux types de codes malveillants sur l’année.
Dans le détail, la majorité des nouveaux types de logiciels malveillants détectés est à classer dans la catégorie des chevaux de Troie. Ceux-ci permettent la prise de contrôle des machines victimes à des fins malveillantes : vol d’informations personnelles, intégration dans des botnets ou encore utilisation dans des attaques distribuées de déni de service (DDoS).
La seconde position est occupée par les adwares avec une nette augmentation. Sur l’année 2016 la part des adwares était de 4,9 %, elle est de 13,9 % sur le premier trimestre de cette année.
Mis en avant par les dégâts qu’ils engendrent, les ransomwares ne représentent qu’une partie infime du total des nouveaux types de codes détectés sur le trimestre (moins de 0,1 % du total). Mais leur forte diffusion en fait un des principaux dangers. De plus, ils augmentent fortement. En 2016, leur nombre avait été multiplié par neuf entre la première et la seconde moitié de l’année. Sur le premier trimestre 2017, la quantité de nouveaux types de ransomware détectés atteint déjà celle comptabilisée lors des 6 derniers mois de l’année 2016.
