Le Pic du Midi © Matthieu Pinaud Après quatre années de travaux menés dans des conditions extrêmes, le Pic du Midi de Bigorre a inauguré, jeudi 30 octobre 2025, deux nouvelles structures dédiées à la recherche. Financé à hauteur de 7,66 millions d’euros, ce double chantier renforce l’excellence scientifique du site et la présence de l’Université de Toulouse au sommet. Suspendu au-dessus des nuages, le Pic du Midi de Bigorre continue d’écrire l’une des plus hautes pages de la science française. Jeudi 30 octobre 2025, ses nouveaux espaces scientifiques ont été inaugurés par Pierre-André Durand, préfet de la région Occitanie, Carole Delga, présidente de la Région, et Odile Rauzy, présidente de l’Université de Toulouse. Cette cérémonie marque l’aboutissement de quatre années de travaux menés dans des conditions extrêmes, au cœur d’un site à la fois mythique et vivant. Lancé en 2021, le double chantier visait à renforcer la capacité d’accueil et d’expérimentation de l’Observatoire du Pic du...
Les experts sécurité du G DATA Security Labs ont recensé 1 852 945 nouveaux types de programmes malveillants au cours du 1er trimestre 2017, soit un nouveau code toutes les 4,2 secondes. Un nouveau record est à prévoir pour l’année 2017 avec des projections qui tablent sur 7,41 millions de nouveaux types de codes malveillants sur l’année.
Dans le détail, la majorité des nouveaux types de logiciels malveillants détectés est à classer dans la catégorie des chevaux de Troie. Ceux-ci permettent la prise de contrôle des machines victimes à des fins malveillantes : vol d’informations personnelles, intégration dans des botnets ou encore utilisation dans des attaques distribuées de déni de service (DDoS).
La seconde position est occupée par les adwares avec une nette augmentation. Sur l’année 2016 la part des adwares était de 4,9 %, elle est de 13,9 % sur le premier trimestre de cette année.
Mis en avant par les dégâts qu’ils engendrent, les ransomwares ne représentent qu’une partie infime du total des nouveaux types de codes détectés sur le trimestre (moins de 0,1 % du total). Mais leur forte diffusion en fait un des principaux dangers. De plus, ils augmentent fortement. En 2016, leur nombre avait été multiplié par neuf entre la première et la seconde moitié de l’année. Sur le premier trimestre 2017, la quantité de nouveaux types de ransomware détectés atteint déjà celle comptabilisée lors des 6 derniers mois de l’année 2016.
