Après un accord de spectre de 17 milliards de dollars, Elon Musk projette de transformer Starlink en opérateur sans fil capable de connecter directement chaque smartphone à sa constellation de satellites. Un bouleversement qui questionne la souveraineté numérique européenne et l’avenir des télécommunications terrestres. Le fantasque milliardaire Elon Musk se lance dans un nouveau projet qui pourrait bouleverser l’écosystème mondial des télécommunications. SpaceX, maison-mère de la constellation de satellites Starlink, a, en effet, acquis cette semaine auprès d’EchoStar des droits de spectre sans fil pour 17 milliards de dollars. Cet accord offre à l’entreprise l’accès aux fréquences AWS-4 et H-block, situées entre 1,9 GHz et 2 GHz. Elon Musk y voit la clé pour faire de Starlink non plus un fournisseur d’accès Internet par satellite, mais un opérateur mondial capable de connecter directement les smartphones. La fin des zones blanches Le projet repose sur une idée radicale : c...
Selon une étude menée par Censuswide pour Ricoh Europe, les salariés français pensent qu'un meilleur accès aux technologies pourrait leur faire économiser 1,8 jour par mois.
En Europe, la moitié (47 %) des 3 600 travailleurs interrogés n’est pas convaincue que les technologies actuellement utilisées sur leur lieu de travail lui permettent d'optimiser la productivité. L'enquête révèle un désir évident de se doter de moyens numériques : 59 % d'entre eux estiment qu'une technologie plus innovante aurait un impact positif sur leur journée de travail.
« Les employeurs perdent en productivité ; un accès limité aux technologies fait perdre du temps au personnel. Les résultats de l’étude montrent clairement que les travailleurs à travers l'Europe veulent que leurs employeurs les aident à devenir plus productifs. Un meilleur accès aux technologies présente des avantages pour l'organisation et l'employé, cela permet d'économiser du temps et de l'argent en permettant un travail plus efficace. », explique Javier Diez-Aguirre, vice-président marketing d'entreprise.
Nous avons constaté que le temps que les employés pourraient économiser chaque mois, en utilisant les nouvelles technologies, varie selon les pays européens. En France, les travailleurs pensent pouvoir gagner 1,8 jour par mois pour 5,6 jours en Russie - pour une moyenne européenne à 3,5 jours. Pour chaque pays, le nombre de jours est :
« Les travailleurs comprennent le rôle positif des nouvelles technologies dans la croissance de leur organisation. Pour y parvenir, les chefs d'entreprise doivent maintenant réfléchir à la façon dont ils utilisent les nouvelles technologies numériques afin de libérer la productivité non exploitée, augmenter la flexibilité et améliorer l'agilité. »