Par Kathleen Desveaud , Kedge Business School L’intelligence artificielle promet un soulagement face à l’ennui des tâches répétitives au travail, mais son usage excessif pourrait entraîner une déqualification progressive et une nouvelle forme de frustration professionnelle. Entre automatisation bénéfique et risque de « travail zombie », comment faire de l’IA un allié du développement des compétences plutôt qu’une source d’appauvrissement cognitif ? L’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur les métiers est un sujet majeur , qui a été traité dans de nombreuses études . Si la question de la disparition des emplois retient souvent l’attention, une autre question de fond mérite d’être considérée : comment ces technologies transforment et transformeront-elles concrètement le quotidien, les compétences et la motivation des travailleurs ? L’IA, un remède contre l’ennui au travail ? L’IA est parfois présentée comme un parfait remède a...
Le ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot a dénoncé, mardi 28 août en démissionnant du gouvernement, le poids des lobbys dans les cercles du pouvoir. Il faisait référence, entre autres à la présence de Thierry Coste, lobbyiste au service des chasseurs lors d'une réunion la veille à l'Elysée avec Emmanuel Macron.
Mais qui sont ces "représentants d’intérêts" que visait Nicolas Hulot ? Qui sont ces homme et ses femmes que l’on croise à Paris dans les couloirs de l’Assemblée nationale et à Bruxelles dans ceux du Parlement européen ? Ont-ils autant de pouvoir qu’on le dit ? Perturbent-ils la fabrique de la loi ? Et sont-ils réellement et suffisamment encadrés ?
Notre enquête et le regard de l’eurodéputé José Bové dans le long format ci-dessous. Pour le consulter, cliquez sur le bouton "View story".