Un chargeur qui reste branché consomme en continu une petite quantité d’énergie dont une partie se perd sous forme de chaleur. YG PhotoArtWorks/Shutterstock Glen Farivar , The University of Melbourne Pour désigner l’énergie consommée par un chargeur qui reste branché sans être utilisé, les Québécois ont un joli terme : l’« énergie vampire » ou « énergie fantôme ». Cette énergie est-elle un mythe ? Peut-on laisser les chargeurs branchés ? Y a-t-il d’autres risques – du vieillissement accéléré à la surchauffe, voire au départ de feu ? Combien de chargeurs possédez-vous ? Nous sommes entourés d’appareils électroniques rechargeables : téléphones mobiles, ordinateurs portables, montres intelligentes, écouteurs, vélos électriques, etc. Il y a peut-être un chargeur de téléphone branché à côté de votre lit, que vous ne prenez jamais la peine de le débrancher quand vous ...
L'Association Française pour le Nommage Internet en Coopération (Afnic) qui est en charge des noms de domaine en .fr, célèbre ce lundi 2 septembre les 33 ans de l'extension française. Et son succès ne se dément pas !
37,2% de part de marché
"A ses débuts, le .fr était réservé aux entreprises françaises. Celles-ci devaient justifier de leur activité pour pouvoir l'obtenir. Depuis 2004, l'extension est beaucoup plus accessible, tout en conservant son image de fiabilité et de sérieux", explique l'AfnicEn effet, depuis 2006, les particuliers ont également accès au ".fr". D'où une popularité croissante : les dirigeants de TPE/PME privilégiaient désormais le .fr (52%) au traditionnel .com (40%). On compte actuellement plus de 3,4 millions de noms de domaine en .fr enregistrés en septembre 2019, avec une part de marché de 37,2%, son plus haut niveau historique.
Une action citoyenne
"L'usage du .fr est par ailleurs une action citoyenne puisque 90 % des bénéfices du.fr soutiennent des projets d'inclusion numérique partout en France via la fondation Afnic", explique l'Afnic. La Fondation existe depuis trois ans et a soutenu 117 projets autour des thèmes de la citoyenneté, de la culture, du développement territorial, de l'éducation/formation, de l'environnement/habitat, de l'insertion/emploi et de la santé/handicap."Nous anticipons une grande marge de progression pour le .fr, puisqu'on estime qu'encore un quart des TPE/PME en France n'a pas de site internet", précise Pierre Bonis, directeur général de l'Afnic.
L'Afnic multiplie d'ailleurs ses actions en faveur de la transformation numérique des PME, à travers sa plateforme "Réussir en .fr" où les entrepreneurs obtiennent un diagnostic gratuit de leur présence en ligne et des conseils, ou encore les ateliers Foliweb, qui ont attiré 14000 participants l'an dernier.