Selon la dernière étude Global Digital Trust Insights 2026 de PwC, l’intelligence artificielle s’impose comme levier majeur de défense numérique. Mais la majorité des organisations restent vulnérables, faute de compétences et de stratégie claire. Face à une intensification sans précédent des menaces numériques, les entreprises accélèrent leurs efforts pour renforcer leur sécurité. D’après l’édition 2026 de l’étude Global Digital Trust Insights menée par PwC, si 78 % des organisations dans le monde prévoient d’augmenter leur budget cybersécurité cette année, seules 6 % se déclarent pleinement prêtes à affronter une cyberattaque majeure. Un chiffre qui illustre le décalage entre les ambitions stratégiques et la réalité opérationnelle. L’intelligence artificielle est LA priorité L’intelligence artificielle s’impose désormais comme LA priorité absolue des investissements cyber : 36 % des entreprises interrogées prévoient d’y consacrer une part croissante de le...
L'ordinateur personnel (PC) vient de fêter ses 25 ans cet été; et le web d'internet ses 15 ans. Il est pourtant un anniversaire presque passé inaperçu: celui du disque dur, matériel pourtant capital dans l'industrie de l'informatique et plus encore des loisirs numériques, notamment pour les baladeurs MP3, lecteurs vidéo portables ou fixes, GPS, etc.C'est le 13 septembre 1956 qu'IBM - encore lui - commercialise le Ramac (Random Access Method of Accounting and Control). À l'époque, les plateaux magnétiques sur lesquels sont inscrites les données informatiques mesurent... 24 pouces (60,96 cm)! Le Ramac en utilise une cinquantaine.Pour faire fonctionner l'appareil, mieux vaut disposer de place, de beaucoup de place. Il faut une pièce entière pour contenir tous les équipements. Un bureau est quasiment intégré dans la machine pour les manipulateurs.
200000 fois plus puissant
Depuis cette date, que de chemin parcouru. En terme de miniaturisation tout d'abord.Les disques durs qui se trouvent dans les ordinateurs ont des plateaux de 3,5, 2,5 ou 1,8 pouces et Toshiba comme Hitachi, des géants du secteur proposent des disques durs descendant jusqu'à 0,85 pouce! L'évolution a aussi, et surtout, concerné les capacités de stockage. En 1956, le Ramac propose... 5 Mo. Une capacité gigantesque pour l'époque et qui le restera très longtemps puisqu'au début des années 80, les premiers disques durs «domestiques» ne dépassaient guère cette valeur.
Aujourd'hui, l'on trouve facilement, sur des PC d'entrée de gamme des disques durs de 80 Go soit 16000 fois plus puissant que le Ramac et une petit clé USB de 1 Go de la taille d'un briquet se trouve facilement à... 15€.
Cette course à la capacité de stockage s'explique par les données que chacun de nous produit, sans cesse plus nombreuses au fur et à mesure que se conforte l'ère du tout numérique. Photos, musique MP3, vidéo DivX, jeux vidéos, programmes informatiques, etc. Les besoins sont immenses. Hitachi a d'ailleurs annoncé cette semaine qu'il produirait d'ici la fin 2006 un disque d'une capacité de 1 teraoctet (1000 Go soit 200000 fois plus que notre vieux Ramac).
La recherche va d'ailleurs bon train pour décupler les capacités actuelles et d'autres technologies vont apparaître comme les disques souples, holographiques ou les mémoires flash (sans pièces en mouvement); des projets impliquant des protéines sensibles à la lumière ouvrent des perspectives inespérées.
Mais il restera toujours à résoudre l'épineuse question de la conservation des données dans le temps et leurs utilisations futures. L'on sait que des données gravées sur un CD-ROM ont une durée de vie de cent ans environ. Mais une récente étude a démontré que le moyen le plus fiable pour conserver ses données était la tablette d'argile de l'Antiquité.N'étais-ce pas là, finalement, le premier des disques dur?
Depuis cette date, que de chemin parcouru. En terme de miniaturisation tout d'abord.Les disques durs qui se trouvent dans les ordinateurs ont des plateaux de 3,5, 2,5 ou 1,8 pouces et Toshiba comme Hitachi, des géants du secteur proposent des disques durs descendant jusqu'à 0,85 pouce! L'évolution a aussi, et surtout, concerné les capacités de stockage. En 1956, le Ramac propose... 5 Mo. Une capacité gigantesque pour l'époque et qui le restera très longtemps puisqu'au début des années 80, les premiers disques durs «domestiques» ne dépassaient guère cette valeur.
Aujourd'hui, l'on trouve facilement, sur des PC d'entrée de gamme des disques durs de 80 Go soit 16000 fois plus puissant que le Ramac et une petit clé USB de 1 Go de la taille d'un briquet se trouve facilement à... 15€.
Cette course à la capacité de stockage s'explique par les données que chacun de nous produit, sans cesse plus nombreuses au fur et à mesure que se conforte l'ère du tout numérique. Photos, musique MP3, vidéo DivX, jeux vidéos, programmes informatiques, etc. Les besoins sont immenses. Hitachi a d'ailleurs annoncé cette semaine qu'il produirait d'ici la fin 2006 un disque d'une capacité de 1 teraoctet (1000 Go soit 200000 fois plus que notre vieux Ramac).
La recherche va d'ailleurs bon train pour décupler les capacités actuelles et d'autres technologies vont apparaître comme les disques souples, holographiques ou les mémoires flash (sans pièces en mouvement); des projets impliquant des protéines sensibles à la lumière ouvrent des perspectives inespérées.
Mais il restera toujours à résoudre l'épineuse question de la conservation des données dans le temps et leurs utilisations futures. L'on sait que des données gravées sur un CD-ROM ont une durée de vie de cent ans environ. Mais une récente étude a démontré que le moyen le plus fiable pour conserver ses données était la tablette d'argile de l'Antiquité.N'étais-ce pas là, finalement, le premier des disques dur?