Selon la dernière étude Global Digital Trust Insights 2026 de PwC, l’intelligence artificielle s’impose comme levier majeur de défense numérique. Mais la majorité des organisations restent vulnérables, faute de compétences et de stratégie claire. Face à une intensification sans précédent des menaces numériques, les entreprises accélèrent leurs efforts pour renforcer leur sécurité. D’après l’édition 2026 de l’étude Global Digital Trust Insights menée par PwC, si 78 % des organisations dans le monde prévoient d’augmenter leur budget cybersécurité cette année, seules 6 % se déclarent pleinement prêtes à affronter une cyberattaque majeure. Un chiffre qui illustre le décalage entre les ambitions stratégiques et la réalité opérationnelle. L’intelligence artificielle est LA priorité L’intelligence artificielle s’impose désormais comme LA priorité absolue des investissements cyber : 36 % des entreprises interrogées prévoient d’y consacrer une part croissante de le...

Il y a des couacs dont on se passerait bien. Fin 2003, dans les salles blanches de Lockheed Martin, le satellite météo américiain NOOA-N Prime subissait une lourde chute. 200 millions de dollars de réparation et quatre années de retard pris sr le programme, le satellite a enfin été mis sur orbite le 6 février.
Dernier né d'une série de 5 satellites météo à orbite polaire (POES : Polar Operational Environmental Satellite), NOAA-N Prime a été construit pour la NASA et la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration). Ce satellite clôture un programme d'observation météo américain qui remonte au lancement, en 1960, de TIROS-1, le premier satellite d'observation météo au monde.
Le CNES est de la partie
Le nouveau satellite effectuera des observations de la surface terrestre et de l'atmosphère qui fourniront des donnnées importantes à la NOAA pour que celle-ci fournisse des prévisions météo, notamment pour la prévention de risques naturels, et des analyses sur le changement climatique. Les données seront recueillies par des stations situées en Virginie, en Alaska et en Norvège, appartenant soit à la NOAA soit à Eumetsat (European Organisation for the Exploitation of Meteorological Satellite).
NOAA-N Prime comprend plusieurs instruments notamment deux radiomètres et trois sondeurs ainsi que des détecteurs de particules pour l'observation des tempêtes solaires. Un système de recueil de données de nouvelle génération, conçu par le CNES, est également embarqué à bord du satellite et permettra de relayer des données environnementales. Le CNES a aussi fourni Sarsat-3, un système qui fonctionne dans le cadre du programme de secours COSPAS-SARSAT. Celui-ci, qui fête se 20 ans et regroupe 40 pays et organisations internationales a permis de sauver 25000 vies depuis 1982.
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