Par Jean-François Cerisier , Université de Poitiers L’usage de l’intelligence artificielle générative est désormais massif dans les nouvelles générations étudiantes, bousculant les codes et les enjeux de l’évaluation des connaissances. Voilà qui pose un certain nombre de dilemmes aux universités. Comment peuvent-elles repenser leurs examens pour maintenir la crédibilité des diplômes ? S’il existe vraiment des innovations de rupture dans l’éducation, les usages des intelligences artificielles génératives pourraient être de celles-là. Ce n’est rien moins qu’un nouveau rapport au savoir qui s’instaure sous nos yeux. À l’université, c’est probablement l’évaluation des apprentissages et le risque de triche qui soulèvent le plus de questions. Les fraudes sont difficiles à observer. Par définition la triche est cachée et il est difficile de la différencier des utilisations légitimes des intelligences artificielles génératives. De plus, il n’existe pas à ce jo...

Les réseaux sociaux ont le vent en poupe - Facebook compte 175 millions de membres dans le monde - et plusieurs d'entre eux commencent à se spécialiser autour de thèmes. Ainsi Babelio (www.babelio.com) se propose de réunir les lecteurs. Sitôt inscrit, l'utilisateur peut créer et classer sa bibliothèque virtuelle (miroir de sa bibliothèque réelle), noter et critiquer ses livres et discuter avec les autres membres dont il peut visiter les bibliothèques. L'utilisateur peut également visionner des vidéos d'auteurs, télécharger des extraits d'œuvres, etc. Babelio propose en outre des fonctionnalités innovantes telles que la possibilité d'ajouter des livres à sa bibliothèque en scannant le code barre par webcam. À l'occasion du 29e salon du livre de Paris, Babelio a annoncé avoir dépassé les 300 000 livres enregistrés par ses membres.