Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
Et si malgré la crise et un budget vacances réduit, on partait quand même en voyage, en logeant chez l'habitant ? Voilà une idée séduisante. D'autant plus qu'un sondage Sofres d'avril 2009 indique que 25 % des Français disposant d'une pièce inoccupée sont prêts à la louer… Pour mettre en relation ces loueurs et les voyageurs, le site Bedycasa (www.bedycasa.com) a récemment ouvert ses portes, qui propose non seulement de répondre aux recherches de logement sur des critères classiques (taille du lit, salle de bain, etc.) mais aussi en tenant compte des centres d'intérêts des deux parties (système de matching). L'occasion de faire de belles rencontres, en France mais aussi à l'étranger puisque le site propose 40 modes d'hébergement dans 159 pays.