En annonçant le plan national « Osez l’IA » ce 1er juillet, Clara Chappaz, ministre déléguée à l’Intelligence artificielle et au Numérique, n’a pas déclenché une révolution, mais acté une inflexion majeure : celle du passage à l’échelle. La France s’était dotée, dès 2018, d’une stratégie nationale ambitieuse issue du rapport Villani, posant les bases d’un écosystème de recherche performant, d’un financement public structurant et d’une régulation éthique. Une décennie plus tard, avec 1 000 start-up dans le domaine, un supercalculateur de pointe (Jean Zay) et des leaders comme Mistral AI, le socle est posé. Mais l’adoption reste lacunaire. En 2025, seules 13 % des PME utilisent réellement une solution IA. Le plan « Osez l’IA » veut inverser cette tendance. Ce plan s’inscrit dans le sillage de France 2030, qui a déjà engagé plus de 2,5 milliards d’euros pour soutenir l’intelligence artificielle. Il s’appuie également sur les enseignements du rapport de Bpifrance Le Lab (« L’IA dans les PM...

L'informatique et les animaux ont toujours fait bon ménage et chacun se souvient sans doute des tamagotchis, ces animaux virtuels. Avec Zanibook (www.zanibook.com), c'est aux animaux en chair et en os que l'on s'intéresse. « Zanibook, le premier réseau social pour animaux de compagnie » proclame la page d'accueil qui ne laisse pas de doute : le site est aux animaux ce que Facebook est aux humains. Christophe Garnier, fondateur du site et gérant d'une boutique d'animaux en Belgique, explique avoir lancé Zanibook pour permettre aux éleveurs ou propriétaires de races particulières d'entrer en contact. Comme sur Facebook, chaque animal (chien, chat, cheval, lapin, etc.) a son profil personnel, noue des relations avec ses congénères, participe à des forums thématiques. Zanibook a déjà conquis 10 000 adhérents.