Par Sibylle Turo , Université de Montpellier et Anne-Sophie Cases , Université de Montpellier Aujourd’hui, les écrans et les notifications dominent notre quotidien. Nous sommes tous familiers de ces distractions numériques qui nous tirent hors de nos pensées ou de notre activité. Entre le mail important d’un supérieur et l’appel de l’école qui oblige à partir du travail, remettant à plus tard la tâche en cours, les interruptions font partie intégrante de nos vies – et semblent destinées à s’imposer encore davantage avec la multiplication des objets connectés dans les futures « maisons intelligentes ». Cependant, elles ne sont pas sans conséquences sur notre capacité à mener à bien des tâches, sur notre confiance en nous, ou sur notre santé. Par exemple, les interruptions engendreraient une augmentation de 27 % du temps d’exécution de l’activité en cours. En tant que chercheuse en psychologie cognitive, j’étudie les coûts cognitifs de ces interruptions numériques : au
Il y a un an, Google avait contribué à la découverte d'une forêt inconnue au Mozambique. Cette fois-ci, le moteur de recherche fait vibrer notre fibre écolo. En pleine conférence de Copenhague, Google vient de mettre au point un outil pour surveiller la déforestation. En combinant l'énorme base de donnée d'images satellites de Google Earth et sa capacité de calcul gigantesque (cloud computing), Google permet de suivre l'évolution de la déforestation à travers la planète. Les scientifiques disposent là d'un outil précieux pour étudier plus facilement le phénomène de déforestation ; mais les autorités locales sont également intéressées pour prendre des mesures d'urgence ou découvrir des déforestations sauvages. Soutenu par une multitude d'organismes de recherches, le nouvel outil de Google sera mis gratuitement à disposition du public l'an prochain.
Plus d'informations sur le blog officiel de Google.
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