Une nouvelle étude commandée par Alteryx , la plateforme d'IA pour l'analyse d'entreprise en France, révèle que les organisations ne sont pas prêtes à tirer parti de l'IA générative en raison de leurs données. Le rapport " Data Stack Evolution : Legacy Challenges and AI Opportunities", qui a interrogé 3 100 leaders mondiaux de l'informatique, a mis en évidence des obstacles qui empêchent le déploiement réussi de l'IA générative, notamment la gestion des piles de données, la stratégie technologique et les cultures d'entreprise. Un manque de confiance envers les piles de données L’étude souligne un décalage important entre la confiance que les responsables informatiques mondiaux accordent à leurs données et la réalité de leurs piles de données. En France, alors que 43% des répondants qualifient la maturité de leurs données comme étant "bonne" ou "avancée" et que 68% ont confiance dans leurs données, un cinquième a tout de même évo
Depuis l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn annoncée très tôt sur le site de micro-blogging Twitter, ce dernier a joué un rôle capital pour suivre heure par heure, via le hashtag #DSK, le développement de l'affaire. Ainsi, les journalistes français présents à New York ont pu rendre compte en direct sur Twitter des débats de l'audience du tribunal américain au moment où celui-ci se prononçait sur la libération sous caution de Dominique Strauss-Kahn.
La plupart des chaînes de télé et les radios ont cité Twitter comme l'une des sources de leurs informations même s'il eut été plus juste de considérer Twitter comme un outil utilisé par leurs propres journalistes. Tous ? Non, Laurence Haïm, correspondante de Canal+ et de I>télé, s'est vue interdire d'utiliser Twitter pour réserver ses informations en exclusivité pour son employeur. Une décision surprenante puisque tous les journalistes français utilisaient Twitter...
Mais le comble du ridicule a été atteint vendredi par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), qui... interdit aux chaînes d'inviter leurs téléspectateurs à se rendre sur leurs comptes Twitter et Facebook ; considérant que mentionner ces deux termes revient à faire la publicité de marques !
La décision a été prise avant l'affaire DSK, mais le hasard du calendrier fait que le CSA apparaît en complet décalage avec une réalité médiatique et d'usage tant pour les consommateurs que pour les producteurs d'informations. Pour un organisme qui ambitionne de réguler tout ou partie de l'internet français, le CSA vient de perdre une belle occasion de se taire.
L'analyse du Conseil
"Le Conseil a été saisi par une chaîne de télévision de la conformité à la réglementation en matière de publicité des renvois aux pages consacrées à ses émissions sur des sites de réseaux sociaux. Il considère que le renvoi des téléspectateurs ou des auditeurs à la page de l’émission sur les réseaux sociaux sans les citer présente un caractère informatif, alors que le renvoi vers ces pages en nommant les réseaux sociaux concernés revêt un caractère publicitaire qui contrevient aux dispositions de l’article 9 du décret du 27 mars 1992 prohibant la publicité clandestine.
La plupart des chaînes de télé et les radios ont cité Twitter comme l'une des sources de leurs informations même s'il eut été plus juste de considérer Twitter comme un outil utilisé par leurs propres journalistes. Tous ? Non, Laurence Haïm, correspondante de Canal+ et de I>télé, s'est vue interdire d'utiliser Twitter pour réserver ses informations en exclusivité pour son employeur. Une décision surprenante puisque tous les journalistes français utilisaient Twitter...
Mais le comble du ridicule a été atteint vendredi par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), qui... interdit aux chaînes d'inviter leurs téléspectateurs à se rendre sur leurs comptes Twitter et Facebook ; considérant que mentionner ces deux termes revient à faire la publicité de marques !
La décision a été prise avant l'affaire DSK, mais le hasard du calendrier fait que le CSA apparaît en complet décalage avec une réalité médiatique et d'usage tant pour les consommateurs que pour les producteurs d'informations. Pour un organisme qui ambitionne de réguler tout ou partie de l'internet français, le CSA vient de perdre une belle occasion de se taire.
L'analyse du Conseil
"Le Conseil a été saisi par une chaîne de télévision de la conformité à la réglementation en matière de publicité des renvois aux pages consacrées à ses émissions sur des sites de réseaux sociaux. Il considère que le renvoi des téléspectateurs ou des auditeurs à la page de l’émission sur les réseaux sociaux sans les citer présente un caractère informatif, alors que le renvoi vers ces pages en nommant les réseaux sociaux concernés revêt un caractère publicitaire qui contrevient aux dispositions de l’article 9 du décret du 27 mars 1992 prohibant la publicité clandestine.