Accéder au contenu principal

Le leadership visionnaire : l’élément essentiel du succès dans le secteur de l’IT

  Par Antony Derbes, Président d’Open Lake Technology Dans le monde dynamique et en constante évolution de la technologie de l'information, le leadership joue un rôle crucial. Je suis convaincu que le bon leadership est la clé pour naviguer avec succès dans cet environnement complexe. Le secteur de l'IT est caractérisé par son rythme effréné, ses avancées rapides et ses défis sans cesse changeants. Dans un tel contexte, un leadership fort et visionnaire est essentiel pour guider les équipes vers le succès. Mais quels sont les éléments clés d'un bon leadership dans le domaine de la technologie ? Tout d'abord, un leader efficace dans le secteur de l'IT doit posséder une vision claire de l'avenir. Cette vision doit être à la fois ambitieuse et réalisable, guidant l'entreprise vers de nouveaux horizons tout en tenant compte des réalités du marché et des capacités de l'organisation. En tant que leaders, nous devons constamment anticiper les tendances, identif

Coronavirus : le télétravail à l'épreuve de nouvelles cybermenaces

covid


Check Point Software, l'un des principaux fournisseurs de solutions de cybersécurité dans le monde, a annoncé aujourd'hui les résultats d'une nouvelle enquête menée par Dimensional Research, qui examine l'impact de la pandémie du coronavirus sur la sécurité des entreprises. Les résultats montrent que l'évolution rapide des pratiques de travail des entreprises et les préoccupations plus générales concernant la pandémie sont toutes deux exploitées par les cybercriminels, qui intensifient leurs attaques et provoquent de nouvelles difficultés pour les professionnels de la sécurité.

Les principales conclusions de l'enquête menée auprès de 411 professionnels de l'informatique et de la sécurité dans le monde sont les suivantes :

·       Le nombre d’attaques liées au coronavirus augmente – 71 % des professionnels de la sécurité ont signalé une augmentation des menaces et des attaques depuis le début de l'épidémie de coronavirus. Les tentatives de phishing sont la principale menace citée (par 55 % des personnes interrogées), suivies par les sites web malveillants prétendant offrir des informations ou des conseils sur la pandémie (32 %), puis par l'augmentation des logiciels malveillants (28 %) et des logiciels rançonneurs (19 %).

·       Les défis de la gestion du télétravail augmentent – 95 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles sont confrontées à des défis supplémentaires en matière de sécurité informatique en raison de la propagation du Covid-19. Les trois principaux défis sont la fourniture d'un accès à distance sécurisé pour les collaborateurs (citée par 56 %), le besoin de solutions d'accès à distance évolutives (55 %) et les collaborateurs travaillant à domicile utilisant des logiciels, des outils et des services non validés (47 %).

·       Préoccupations de sécurité pour les mois à venir – 61 % des personnes interrogées s'inquiètent des risques de sécurité liés à la nécessité d'apporter des changements rapides pour permettre le télétravail, et 55 % estiment que la sécurité de l'accès à distance doit être améliorée. 49 % sont préoccupés par la nécessité de renforcer la sécurité des postes de travail.

La surface d'attaque de nombreuses entreprises a augmenté


« Les cybercriminels chercheront toujours à tirer parti des dernières tendances pour tenter d'améliorer le taux de réussite de leurs attaques. La pandémie du coronavirus a entraîné un véritable déluge d'informations, ainsi que des changements spectaculaires dans les pratiques de travail et les technologies utilisées par les entreprises.  La surface d'attaque de nombreuses entreprises a ainsi augmenté de manière significative et compromet leur sécurité, » déclare Rafi Kretchmer, responsable du marketing produit chez Check Point.

« Pour assurer la sécurité et la continuité des activités dans cette situation évoluant rapidement, les entreprises doivent se protéger à l'aide d'une architecture de sécurité holistique de bout en bout. Il s'agit de garantir des connexions accessibles et fiables entre les réseaux d'entreprise et les appareils distants 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, faciliter la collaboration et la productivité entre les équipes, les réseaux et les bureaux, et déployer une protection robuste contre les menaces et les techniques de cybercriminalité avancées à tous les points du réseau de l'entreprise. »

Les domaines liés au coronavirus ont 50 % de chances de plus d'être malveillants


Les résultats de l'enquête renforcent les récentes conclusions de Check Point selon lesquelles les domaines liés au coronavirus ont 50 % de chances de plus d'être malveillants que les autres domaines enregistrés depuis janvier 2020. Le nombre moyen de nouveaux domaines enregistrés au cours des trois semaines depuis fin février était en effet presque 10 fois plus élevé que le nombre moyen constaté au cours des semaines précédentes. De même, les chercheurs de Check Point ont découvert plusieurs « promotions spéciales coronavirus » annoncées par des pirates sur le web noir, avec « Covid-19 » ou « coronavirus » utilisés comme codes de réduction pour la vente de logiciels malveillants prêts à l'emploi.


Check Point dispose d'une gamme complète de solutions de sécurité qui assurent une connectivité et une sécurité de haut niveau pour le télétravail, permettant ainsi aux collaborateurs de rester aussi productifs que possible. Parmi celles-ci, le logiciel d'accès à distance via VPN de Check Point, la prévention des menaces pour postes de travail, la sécurité mobile et l'espace de travail sécurisé mobile visent toutes à adopter une approche pratique pour sécuriser les télétravailleurs.  Check Point SandBlast Agent propose une prévention complète des menaces sur les postes de travail contre les attaques zero-day, avec un taux de blocage de 100 %, même pour les menaces inconnues, sans faux positifs.


L'enquête a été menée par Dimensional Research, auprès de 411 professionnels issus d'entreprises de plus de 500 collaborateurs dans le monde.

Pour plus de détails sur les solutions de Check Point de protection des télétravailleurs, consultez le site https://www.checkpoint.com/solutions/secure-remote-workforce-during-covid19/

Posts les plus consultés de ce blog

Le bipeur des années 80 plus efficace que le smartphone ?

Par André Spicer, professeur en comportement organisationnel à la Cass Business School (City University of London) : Vous vous souvenez des bipeurs ? Ces appareils étaient utilisés largement avant l'arrivée massive des téléphones portables et des SMS. Si vous aviez un bipeur, vous pouviez recevoir des messages simples, mais vous ne pouviez pas répondre. Un des rares endroits où on peut encore en trouver aujourd’hui sont les hôpitaux. Le Service National de Santé au Royaume-Uni (National Health Service) en utilise plus de 130 000. Cela représente environ 10 % du nombre total de bipeurs présents dans le monde. Une récente enquête menée au sein des hôpitaux américains a révélé que malgré la disponibilité de nombreuses solutions de rechange, les bipeurs demeurent le moyen de communication le plus couramment utilisée par les médecins américains. La fin du bipeur dans les hôpitaux britanniques ? Néanmoins, les jours du bipeur dans les hôpitaux britanniques pourraient être compté

Comment les machines succombent à la chaleur, des voitures aux ordinateurs

  La chaleur extrême peut affecter le fonctionnement des machines, et le fait que de nombreuses machines dégagent de la chaleur n’arrange pas les choses. Afif Ramdhasuma/Unsplash , CC BY-SA Par  Srinivas Garimella , Georgia Institute of Technology et Matthew T. Hughes , Massachusetts Institute of Technology (MIT) Les humains ne sont pas les seuls à devoir rester au frais, en cette fin d’été marquée par les records de chaleur . De nombreuses machines, allant des téléphones portables aux voitures et avions, en passant par les serveurs et ordinateurs des data center , perdent ainsi en efficacité et se dégradent plus rapidement en cas de chaleur extrême . Les machines génèrent de plus leur propre chaleur, ce qui augmente encore la température ambiante autour d’elles. Nous sommes chercheurs en ingénierie et nous étudions comment les dispositifs mécaniques, électriques et électroniques sont affectés par la chaleur, et s’il est possible de r

De quoi l’inclusion numérique est-elle le nom ?

Les professionnels de l'inclusion numérique ont pour leitmotiv la transmission de savoirs, de savoir-faire et de compétences en lien avec la culture numérique. Pexels , CC BY-NC Par  Matthieu Demory , Aix-Marseille Université (AMU) Dans le cadre du Conseil National de la Refondation , le gouvernement français a proposé au printemps 2023 une feuille de route pour l’inclusion numérique intitulée « France Numérique Ensemble » . Ce programme, structuré autour de 15 engagements se veut opérationnel jusqu’en 2027. Il conduit les acteurs de terrain de l’inclusion numérique, notamment les Hubs territoriaux pour un numérique inclusif (les structures intermédiaires ayant pour objectif la mise en relation de l’État avec les structures locales), à se rapprocher des préfectures, des conseils départementaux et régionaux, afin de mettre en place des feuilles de route territoriales. Ces documents permettront d’organiser une gouvernance locale et dé

Midi-Pyrénées l’eldorado des start-up

Le mouvement était diffus, parfois désorganisé, en tout cas en ordre dispersé et avec une visibilité et une lisibilité insuffisantes. Nombreux sont ceux pourtant qui, depuis plusieurs années maintenant, ont pressenti le développement d’une économie numérique innovante et ambitieuse dans la région. Mais cette année 2014 pourrait bien être la bonne et consacrer Toulouse et sa région comme un eldorado pour les start-up. S’il fallait une preuve de ce décollage, deux actualités récentes viennent de l’apporter. La première est l’arrivée à la tête du conseil de surveillance de la start-up toulousaine Sigfox , spécialisée dans le secteur en plein boom de l’internet des objets, d’Anne Lauvergeon, l’ancien sherpa du Président Mitterrand. Que l’ex-patronne du géant Areva qui aurait pu prétendre à la direction de grandes entreprises bien installées, choisisse de soutenir l’entreprise prometteuse de Ludovic Le Moan , en dit long sur le changement d’état d’esprit des élites économiques du pay

La fin du VHS

La bonne vieille cassette VHS vient de fêter ses 30 ans le mois dernier. Certes, il y avait bien eu des enregistreurs audiovisuels avant septembre 1976, mais c’est en lançant le massif HR-3300 que JVC remporta la bataille des formats face au Betamax de Sony, pourtant de meilleure qualité. Ironie du sort, les deux géants de l’électronique se retrouvent encore aujourd’hui face à face pour déterminer le format qui doit succéder au DVD (lire encadré). Chassée par les DVD ou cantonnée au mieux à une petite étagère dans les vidéoclubs depuis déjà quatre ans, la cassette a vu sa mort programmée par les studios hollywoodiens qui ont décidé d’arrêter de commercialiser leurs films sur ce support fin 2006. Restait un atout à la cassette VHS: l’enregistrement des programmes télé chez soi. Las, l’apparition des lecteurs-enregistreurs de DVD et, surtout, ceux dotés d’un disque dur, ont sonné le glas de la cassette VHS, encombrante et offrant une piètre qualité à l’heure de la TNT et des écrans pl

Ce que les enfants comprennent du monde numérique

  Par  Cédric Fluckiger , Université de Lille et Isabelle Vandevelde , Université de Lille Depuis la rentrée 2016 , il est prévu que l’école primaire et le collège assurent un enseignement de l’informatique. Cela peut sembler paradoxal : tous les enfants ne sont-ils pas déjà confrontés à des outils numériques, dans leurs loisirs, des jeux vidéos aux tablettes, et, dans une moindre mesure, dans leur vie d’élève, depuis le développement des tableaux numériques interactifs et espaces numériques de travail ? Le paradoxe n’est en réalité qu’apparent. Si perdure l’image de « natifs numériques », nés dans un monde connecté et donc particulièrement à l’aise avec ces technologies, les chercheurs ont montré depuis longtemps que le simple usage d’outils informatisés n’entraîne pas nécessairement une compréhension de ce qui se passe derrière l’écran. Cela est d’autant plus vrai que l’évolution des outils numériques, rendant leur utilisation intuitive, a conduit à masquer les processus in