Par Arnaud Marquant, directeur des opérations KB Crawl SAS À l'aube d'une nouvelle ère numérique, la Journée mondiale de la sauvegarde des données, célébrée le 31 mars, nous offre un moment de réflexion critique sur notre rapport aux données. Dans une époque marquée par une digitalisation accrue, la sauvegarde des données se positionne au cœur des débats sur la sécurité, la conformité et la continuité des activités. De bonnes pratiques de sauvegarde essentielles La sauvegarde des données commence par des gestes simples mais cruciaux d'hygiène numérique, préconisés par des institutions telles que l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) en France. Ces mesures de base incluent la réalisation de copies de sauvegarde régulières, la mise à jour des systèmes et des applications, ainsi que la sensibilisation à la cybersécurité. Le renforcement du cadre juridique autour de la gestion des données personnelles, comme le Règlement général sur la pro
Difficile pour Apple de réitérer en 2008 un coup marketing aussi fort que l'iPhone, son téléphone révolutionnaire présenté l'an dernier et qui avait fait bondir l'action de 8 %. Dès lors l'édition du MacWorld 2008 - la grand-messe annuelle de San Francisco où la firme à la pomme présente ses nouveautés - a forcément moins surpris fans et journalistes, réunis la semaine dernière au Moscone center, vaste centre de congrès pavoisé d'affiches « Il y a quelque chose dans l'air. » Ce « quelque chose », Steve Jobs, le PDG, s'est attaché à le présenter lui-même avec gourmandise au cours d'une de ses mises en scène étudiées qui ont fait sa légende.
C'est donc d'une enveloppe en papier kraft que le « gourou » a sorti le MacBook Air, présenté comme l'ordinateur « le plus fin du monde. »
Avec sa robe aluminium, le nouvel ordinateur portable a fière allure. D'un poids de 1,36 kg, il propose un écran de 13,3'' (33,7 cm) à technologie LED (éclairage par diode) surmonté d'une webcam. Son clavier confortable est rétro-éclairé si l'on travaille dans le noir. Il mesure 32,5x22,7 cm avec une épaisseur allant de 1,94 cm à… 0,4 cm sur sa face avant !
Son autonomie est annoncée à 5 heures avec le sans-fil Wifi N activé. Avec de telles mensurations, le lecteur-graveur de DVD est externe et optionnel (90€). Intel a spécialement conçu pour Apple un microprocesseur Centrino double cœur 60 % plus petit qu'habituellement cadencé à 1,6 ou 1,8 GHz. La machine d'ores et déjà est disponible à partir de 1 799 $ soit 1 223€… en théorie car en France elle est disponible à partir de 1 699€. Une version à 2 686 € intègre un disque dur à mémoire flash (ssd) de 80Go.
Après la téléphonie mobile l'an dernier, Apple aborde donc un nouveau secteur : celui des ordinateurs ultraportables. Un secteur très concurrentiel (cf. ci-dessous) et en plein boom. « Le MacBook Air pourrait doper le marché des ordinateurs ultraportables », estime ainsi Tim Bajarin, analyste chez Creative Strategies. Apple, dont la moitié des ordinateurs vendus sont des portables, « pourrait également attirer les utilisateurs de PC », ceux que l'on appelle les «switchers.»
Greenpeace accuse
Mais le MacBook Air, si séduisant soit-il, présente quelques handicaps : une solidité à vérifier, un seul port USB, une batterie inamovible. Et aussi une étiquette « écolo » qui serait moins nette que celle vantée par Steve Jobs. Ainsi Greenpeace accuse. « Le MacBook Air présente moins de PVC et de retardateurs de flamme bromés que les autres ordinateurs Mac, mais il n'est pas complètement dépourvu de ces substances toxiques », affirme l'association écologique.
C'est donc d'une enveloppe en papier kraft que le « gourou » a sorti le MacBook Air, présenté comme l'ordinateur « le plus fin du monde. »
Avec sa robe aluminium, le nouvel ordinateur portable a fière allure. D'un poids de 1,36 kg, il propose un écran de 13,3'' (33,7 cm) à technologie LED (éclairage par diode) surmonté d'une webcam. Son clavier confortable est rétro-éclairé si l'on travaille dans le noir. Il mesure 32,5x22,7 cm avec une épaisseur allant de 1,94 cm à… 0,4 cm sur sa face avant !
Son autonomie est annoncée à 5 heures avec le sans-fil Wifi N activé. Avec de telles mensurations, le lecteur-graveur de DVD est externe et optionnel (90€). Intel a spécialement conçu pour Apple un microprocesseur Centrino double cœur 60 % plus petit qu'habituellement cadencé à 1,6 ou 1,8 GHz. La machine d'ores et déjà est disponible à partir de 1 799 $ soit 1 223€… en théorie car en France elle est disponible à partir de 1 699€. Une version à 2 686 € intègre un disque dur à mémoire flash (ssd) de 80Go.
Après la téléphonie mobile l'an dernier, Apple aborde donc un nouveau secteur : celui des ordinateurs ultraportables. Un secteur très concurrentiel (cf. ci-dessous) et en plein boom. « Le MacBook Air pourrait doper le marché des ordinateurs ultraportables », estime ainsi Tim Bajarin, analyste chez Creative Strategies. Apple, dont la moitié des ordinateurs vendus sont des portables, « pourrait également attirer les utilisateurs de PC », ceux que l'on appelle les «switchers.»
Greenpeace accuse
Mais le MacBook Air, si séduisant soit-il, présente quelques handicaps : une solidité à vérifier, un seul port USB, une batterie inamovible. Et aussi une étiquette « écolo » qui serait moins nette que celle vantée par Steve Jobs. Ainsi Greenpeace accuse. « Le MacBook Air présente moins de PVC et de retardateurs de flamme bromés que les autres ordinateurs Mac, mais il n'est pas complètement dépourvu de ces substances toxiques », affirme l'association écologique.
Mobilité : un marché très concurrentiel
Leader sur le marché des ultraportables, Sony dispose de son Vaio TZ, une référence chez les PC. Il surpasse le MacBook Air sur plusieurs points : 1,19 kg avec lecteur-graveur de DVD et une autonomie de 7 heures. Moins connu dans l'Hexagone, Panasonic pulvérise les 10 heures d'autonomie avec des modèles très pro car à coque renforcée, mais très chers. Toshiba de son côté a récemment lancé son R500 : 800 grammes avec le lecteur graveur de DVD. Asus, autre spécialiste du portable, présente toute une gamme « U » et surtout son nouvel EEE révolutionnaire. Là où les ultraportables coûtent souvent plus de 1 500 €, Asus lance une machine à… 300€. Un prix qui est même tombé, mercredi 23 janvier dernier, date de sortie en France de l'appareil, à 199 € si l'on prend l'EEE chez SFR avec un abonnement de 29,90 €/mois. Ce pack permet d'accéder à internet partout en France via le réseau 3G + (HSDPA) grâce à une petite clé USB. C'est la première fois que SFR commercialise un ordinateur. Le EEE d'Asus, qui a connu un très vif succès depuis son lancement dans les autres pays, est un ordinateur complet et prêt à fonctionner. Basé sur une version de linux (Windows XP peut être installé), il est équipé de logiciels libres.