La 19ᵉ édition des Trophées de la e-santé est lancée. Véritable tremplin pour les startups et projets innovants du numérique en santé, l’événement récompensera en novembre, à Castres, six solutions jugées les plus prometteuses pour transformer le soin et renforcer l’écosystème médical français. La 19ᵉ édition des Trophées de la e-santé est officiellement lancée. Devenus un rendez-vous incontournable de l’Université de la e-santé, organisée à Castres-Mazamet, ces prix distingueront en novembre prochain les solutions numériques les plus prometteuses du secteur médical. Plus qu’une vitrine, ils constituent un véritable accélérateur pour les startups et projets qui façonnent la santé numérique de demain. Depuis leur création, les Trophées ont récompensé plus d’une centaine d’initiatives. Certaines ont connu un développement spectaculaire après leur passage à Castres : OSO-AI, qui a levé 10 millions d’euros en 2022, SiView (5 M€ en 2021) ou Tilak Healthcare (10 M€ en 2018). Cette trajectoi...
A l'occasion de l'examen par l'Assemblée nationale de la loi Hadopi (ou "Création et internet"), l'association la Quadrature du net" invite les internautes à s'opposer à ce texte qui veut instituer la riposte graduée.
"Devant le ridicule d'un gouvernement qui s'entête à vouloir déconnecter du Net des familles entières sans preuves valables ni procès, la Quadrature appelle les citoyens épris de liberté à procéder au « black-out » de leurs sites, blogs, profils, avatars, etc. Comme en Nouvelle-Zélande, seul pays avec la France où la « riposte graduée » devait être imposée par la loi, pour finalement être repoussée : pour protester contre cette loi imbécile et sa « liste blanche » de sites autorisés, le Net français doit agir et se draper de noir", explique l'association sur son site web.
"La Nouvelle-Zélande était à ce jour le seul autre pays à part la France où devait être votée une loi aussi stupide que la « riposte graduée » voulue par N. Sarkozy, défendue par C. Albanel dans la loi HADOPI, et bientôt votée à l'Assemblée nationale. Elle vient d'être repoussée grâce à une mobilisation massive, durant laquelle le web néo-zélandais a procédé à son « black-out » volontaire", poursuit l'association.