Le dernier rapport de QBE montre que l'adoption accélérée du cloud et de l’intelligence artificielle bouleverse la carte mondiale des risques cyber. En 2025, les ransomwares atteignent des niveaux inédits tandis que les deepfakes deviennent un vecteur d’attaque majeur. La transformation numérique accélérée par l’intelligence artificielle, la migration vers le cloud et l’explosion des volumes de données redessine en profondeur le paysage mondial des menaces cyber. Le dernier rapport de QBE révèle une progression fulgurante : en un an, le nombre d’attaques a bondi de 168 %, les alertes critiques cloud ont augmenté de 235 %, et 10 % des cyberattaques impliquent désormais des deepfakes. Ces chiffres traduisent un basculement structurel où innovation et vulnérabilité avancent de concert. Une attaque sur dix réussie s’appuie sur des contenus falsifiés par IA L’IA générative, longtemps perçue comme un levier de productivité, devient aussi une arme d’ingénierie s...
Après des années d'atermoiements et de rebondissements, la France aura donc bien un 4e opérateur de téléphonie mobile. L'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) a octroyé hier la 4e licence au groupe Iliad, propriétaire des fournisseurs d'accès à internet Free et Alice, et seul candidat en lice.
Pour l'Arcep et le gouvernement, l'arrivée d'un nouvel entrant - contestée par Orange, SFR et Bouygues qui ont déposé des recours devant le Conseil d'État - doit clairement faire baisser la facture mobile des Français, ce qu'espèrent aussi les associations de consommateurs. Un objectif partagé par le PDG de Free, Xavier Niel, qui depuis longtemps affirme qu'il divisera par deux la facture annuelle d'un foyer (soit 1 000 € d'économies). Free le trublion veut donc révolutionner le mobile comme il a révolutionné l'accès à internet. La box internet, le forfait tripleplay (internet, télé, téléphone fixe) à 29,90 €, c'est lui. Arrivant dans un marché très concurrentiel puisque 93 % des Français possèdent un mobile, Free compte sur sa base de 4,3 millions d'abonnés ADSL et sur sa capacité d'innovation pour proposer des forfaits à prix cassé et très orientés vers l'internet mobile, en pleine explosion. Reste que pour l'heure, Free, qui va mobiliser jusqu'à 1 milliard d'euros et promet de créer 10 000 emplois, s'engage dans une course de vitesse : bâtir en moins de deux ans un réseau mobile couvrant 25 % de la population, avec toute la problématique des antennes relais… Les premières offres de Free Mobile sont prévues à partir de l'été 2011 ; un délai dont vont profiter les 3 autres opérateurs pour toiletter leurs offres et se préparer à une guerre des prix.
Pour l'Arcep et le gouvernement, l'arrivée d'un nouvel entrant - contestée par Orange, SFR et Bouygues qui ont déposé des recours devant le Conseil d'État - doit clairement faire baisser la facture mobile des Français, ce qu'espèrent aussi les associations de consommateurs. Un objectif partagé par le PDG de Free, Xavier Niel, qui depuis longtemps affirme qu'il divisera par deux la facture annuelle d'un foyer (soit 1 000 € d'économies). Free le trublion veut donc révolutionner le mobile comme il a révolutionné l'accès à internet. La box internet, le forfait tripleplay (internet, télé, téléphone fixe) à 29,90 €, c'est lui. Arrivant dans un marché très concurrentiel puisque 93 % des Français possèdent un mobile, Free compte sur sa base de 4,3 millions d'abonnés ADSL et sur sa capacité d'innovation pour proposer des forfaits à prix cassé et très orientés vers l'internet mobile, en pleine explosion. Reste que pour l'heure, Free, qui va mobiliser jusqu'à 1 milliard d'euros et promet de créer 10 000 emplois, s'engage dans une course de vitesse : bâtir en moins de deux ans un réseau mobile couvrant 25 % de la population, avec toute la problématique des antennes relais… Les premières offres de Free Mobile sont prévues à partir de l'été 2011 ; un délai dont vont profiter les 3 autres opérateurs pour toiletter leurs offres et se préparer à une guerre des prix.