Après un accord de spectre de 17 milliards de dollars, Elon Musk projette de transformer Starlink en opérateur sans fil capable de connecter directement chaque smartphone à sa constellation de satellites. Un bouleversement qui questionne la souveraineté numérique européenne et l’avenir des télécommunications terrestres. Le fantasque milliardaire Elon Musk se lance dans un nouveau projet qui pourrait bouleverser l’écosystème mondial des télécommunications. SpaceX, maison-mère de la constellation de satellites Starlink, a, en effet, acquis cette semaine auprès d’EchoStar des droits de spectre sans fil pour 17 milliards de dollars. Cet accord offre à l’entreprise l’accès aux fréquences AWS-4 et H-block, situées entre 1,9 GHz et 2 GHz. Elon Musk y voit la clé pour faire de Starlink non plus un fournisseur d’accès Internet par satellite, mais un opérateur mondial capable de connecter directement les smartphones. La fin des zones blanches Le projet repose sur une idée radicale : c...
Depuis le lundi 10 mai, la bataille des tablettes - qui permettent de surfer sur internet, regarder des vidéos, des photos, écouter de la musique, etc. - a franchi une nouvelle étape. Apple a, en effet, ouvert la réservation de son iPad sur son site internet à la France et à plusieurs autres pays d'Europe en vue d'une commercialisation le 28 mai. Les tarifs s'échelonnent de 499 € (modèle Wifi de 16 Go) à 799 € (modèle Wifi + 3G de capacité de 64 Go). Avec son iPad, déjà commercialisé aux États-Unis et dont il s'est vendu 1 million d'exemplaires depuis le 3 avril, la firme de Steve Jobs arrive sur un marché qui a longtemps fait figure d'Arlésienne pour le secteur informatique. Les « ardoises » électronique étaient un marché de niche, pour professionnels, trop chères et aux fonctionnalités limitées voire inadaptées.
Grâce à son expérience dans l'interface tactile avec l'iPhone, mais aussi avec le mode de commercialisation des chansons, films et applications à l'acte (iTunes), Apple part avec une longueur d'avance sur la concurrence, même si sa tablette est techniquement limitée (pas de port USB, ni de webcam).
Une concurrence qui, pour l'heure, s'inscrit dans le sillage d'Apple, sans savoir de quoi sera fait le marché. Afin d'y voir plus clair, Microsoft a renoncé à sa prometteuse tablette Courrier à double écran.
Et HP a lui aussi abandonné sa tablette Slate pourtant présentée comme le challenger de l'iPad. Fonctionnant sous Windows 7, la Slate pourrait toutefois réapparaître en tournant avec le système des smartphones Palm, rachetés par HP.
Malgré ces abandons, nombreux sont ceux qui veulent en découdre avec l'iPad. La tablette Joojoo (photo 2), créée par la société singapourienne Fusion Garage, ressemble beaucoup à l'iPad. L'écran est plus grand (12,1''), elle dispose d'un port USB, est compatible Flash mais n'est disponible qu'en Wifi (359 €).
WePad (photo 3) est un concept allemand qui fonctionne avec le système Androïd de Google. Doté d'un écran de 11,6'', d'un port USB et d'une webcam, cette tablette Wifi est très orientée vers la lecture de la presse grâce à des accords passés avec des éditeurs (450€.)
Le Français Archos, spécialiste des baladeurs, a lui décidé de casser les prix avec une tablette Wifi à 150€. Mais l'écran est petit (7'').
Dans les semaines à venir, ce sont les constructeurs informatiques (Samsung, Asus, etc.) et sans doute Google qui vont se lancer sur ce marché en devenir sur lequel règne en maître l'iPad.
Grâce à son expérience dans l'interface tactile avec l'iPhone, mais aussi avec le mode de commercialisation des chansons, films et applications à l'acte (iTunes), Apple part avec une longueur d'avance sur la concurrence, même si sa tablette est techniquement limitée (pas de port USB, ni de webcam).
Une concurrence qui, pour l'heure, s'inscrit dans le sillage d'Apple, sans savoir de quoi sera fait le marché. Afin d'y voir plus clair, Microsoft a renoncé à sa prometteuse tablette Courrier à double écran.
Et HP a lui aussi abandonné sa tablette Slate pourtant présentée comme le challenger de l'iPad. Fonctionnant sous Windows 7, la Slate pourrait toutefois réapparaître en tournant avec le système des smartphones Palm, rachetés par HP.
Malgré ces abandons, nombreux sont ceux qui veulent en découdre avec l'iPad. La tablette Joojoo (photo 2), créée par la société singapourienne Fusion Garage, ressemble beaucoup à l'iPad. L'écran est plus grand (12,1''), elle dispose d'un port USB, est compatible Flash mais n'est disponible qu'en Wifi (359 €).
WePad (photo 3) est un concept allemand qui fonctionne avec le système Androïd de Google. Doté d'un écran de 11,6'', d'un port USB et d'une webcam, cette tablette Wifi est très orientée vers la lecture de la presse grâce à des accords passés avec des éditeurs (450€.)
Le Français Archos, spécialiste des baladeurs, a lui décidé de casser les prix avec une tablette Wifi à 150€. Mais l'écran est petit (7'').
Dans les semaines à venir, ce sont les constructeurs informatiques (Samsung, Asus, etc.) et sans doute Google qui vont se lancer sur ce marché en devenir sur lequel règne en maître l'iPad.