Friedrich Merz et Emmanuel Macron - Photo Bundesregierung / Jesco Denzel. Réunis à Berlin pour un sommet sur la souveraineté numérique, la France et l’Allemagne ont scellé une feuille de route commune pour renforcer l’autonomie technologique européenne. Simplification réglementaire, normes de protection des données, investissements massifs et développement d’une IA d’avant-garde structurent cette stratégie, alors que l’Europe tente de combler son retard face aux États-Unis et à la Chine. Le hasard fat parfois bien les choses. Alors qu’un Sommet sur la souveraineté numérique européenne s’est tenu ce mardi 18 novembre à Berlin, le monde et donc l’Europe faisaient face à de nombreux sites internet en panne. Plusieurs sites, dont le réseau social X et la page d’accès de l’agent conversationnel ChatGPT, ont été perturbés en raison d’un incident technique touchant le fournisseur américain de services Cloudflare, utilisé par 20 % des sites dans le monde. On aurait voulu démontre...
Depuis le lundi 10 mai, la bataille des tablettes - qui permettent de surfer sur internet, regarder des vidéos, des photos, écouter de la musique, etc. - a franchi une nouvelle étape. Apple a, en effet, ouvert la réservation de son iPad sur son site internet à la France et à plusieurs autres pays d'Europe en vue d'une commercialisation le 28 mai. Les tarifs s'échelonnent de 499 € (modèle Wifi de 16 Go) à 799 € (modèle Wifi + 3G de capacité de 64 Go). Avec son iPad, déjà commercialisé aux États-Unis et dont il s'est vendu 1 million d'exemplaires depuis le 3 avril, la firme de Steve Jobs arrive sur un marché qui a longtemps fait figure d'Arlésienne pour le secteur informatique. Les « ardoises » électronique étaient un marché de niche, pour professionnels, trop chères et aux fonctionnalités limitées voire inadaptées.
Grâce à son expérience dans l'interface tactile avec l'iPhone, mais aussi avec le mode de commercialisation des chansons, films et applications à l'acte (iTunes), Apple part avec une longueur d'avance sur la concurrence, même si sa tablette est techniquement limitée (pas de port USB, ni de webcam).
Une concurrence qui, pour l'heure, s'inscrit dans le sillage d'Apple, sans savoir de quoi sera fait le marché. Afin d'y voir plus clair, Microsoft a renoncé à sa prometteuse tablette Courrier à double écran.
Et HP a lui aussi abandonné sa tablette Slate pourtant présentée comme le challenger de l'iPad. Fonctionnant sous Windows 7, la Slate pourrait toutefois réapparaître en tournant avec le système des smartphones Palm, rachetés par HP.
Malgré ces abandons, nombreux sont ceux qui veulent en découdre avec l'iPad. La tablette Joojoo (photo 2), créée par la société singapourienne Fusion Garage, ressemble beaucoup à l'iPad. L'écran est plus grand (12,1''), elle dispose d'un port USB, est compatible Flash mais n'est disponible qu'en Wifi (359 €).
WePad (photo 3) est un concept allemand qui fonctionne avec le système Androïd de Google. Doté d'un écran de 11,6'', d'un port USB et d'une webcam, cette tablette Wifi est très orientée vers la lecture de la presse grâce à des accords passés avec des éditeurs (450€.)
Le Français Archos, spécialiste des baladeurs, a lui décidé de casser les prix avec une tablette Wifi à 150€. Mais l'écran est petit (7'').
Dans les semaines à venir, ce sont les constructeurs informatiques (Samsung, Asus, etc.) et sans doute Google qui vont se lancer sur ce marché en devenir sur lequel règne en maître l'iPad.
Grâce à son expérience dans l'interface tactile avec l'iPhone, mais aussi avec le mode de commercialisation des chansons, films et applications à l'acte (iTunes), Apple part avec une longueur d'avance sur la concurrence, même si sa tablette est techniquement limitée (pas de port USB, ni de webcam).
Une concurrence qui, pour l'heure, s'inscrit dans le sillage d'Apple, sans savoir de quoi sera fait le marché. Afin d'y voir plus clair, Microsoft a renoncé à sa prometteuse tablette Courrier à double écran.
Et HP a lui aussi abandonné sa tablette Slate pourtant présentée comme le challenger de l'iPad. Fonctionnant sous Windows 7, la Slate pourrait toutefois réapparaître en tournant avec le système des smartphones Palm, rachetés par HP.
Malgré ces abandons, nombreux sont ceux qui veulent en découdre avec l'iPad. La tablette Joojoo (photo 2), créée par la société singapourienne Fusion Garage, ressemble beaucoup à l'iPad. L'écran est plus grand (12,1''), elle dispose d'un port USB, est compatible Flash mais n'est disponible qu'en Wifi (359 €).
WePad (photo 3) est un concept allemand qui fonctionne avec le système Androïd de Google. Doté d'un écran de 11,6'', d'un port USB et d'une webcam, cette tablette Wifi est très orientée vers la lecture de la presse grâce à des accords passés avec des éditeurs (450€.)
Le Français Archos, spécialiste des baladeurs, a lui décidé de casser les prix avec une tablette Wifi à 150€. Mais l'écran est petit (7'').
Dans les semaines à venir, ce sont les constructeurs informatiques (Samsung, Asus, etc.) et sans doute Google qui vont se lancer sur ce marché en devenir sur lequel règne en maître l'iPad.
