Par Patrick Dufour chez Stordata L’exploitation des données froides, à des fins d’analyse, de conception de nouveaux services, de compréhension des évolutions de marché et des habitudes de consommation a des allures d’arlésienne. Entre les difficultés de localisation et d’accès aux données archivées et le coût potentiel des infrastructures dédiées aux projets IA, les données froides continuent surtout de dormir profondément. Pourtant, avec la puissance de ses algorithmes, l’IA change vraiment la donne. Plus pertinente, plus performante, la technologie représente un potentiel d’extraction de valeur jamais atteint jusque-là. Le moment de réveiller son patrimoine informationnel est peut-être arrivé. Une mémoire de l’entreprise en dormance Les organisations conservent et archivent la donnée pour des raisons principalement réglementaires. Variables selon la nature des documents et les textes applicables, les durées de rétention imposées ont vocation à permettre tout contrôle utile, sur de n...
Depuis le lundi 10 mai, la bataille des tablettes - qui permettent de surfer sur internet, regarder des vidéos, des photos, écouter de la musique, etc. - a franchi une nouvelle étape. Apple a, en effet, ouvert la réservation de son iPad sur son site internet à la France et à plusieurs autres pays d'Europe en vue d'une commercialisation le 28 mai. Les tarifs s'échelonnent de 499 € (modèle Wifi de 16 Go) à 799 € (modèle Wifi + 3G de capacité de 64 Go). Avec son iPad, déjà commercialisé aux États-Unis et dont il s'est vendu 1 million d'exemplaires depuis le 3 avril, la firme de Steve Jobs arrive sur un marché qui a longtemps fait figure d'Arlésienne pour le secteur informatique. Les « ardoises » électronique étaient un marché de niche, pour professionnels, trop chères et aux fonctionnalités limitées voire inadaptées.
Grâce à son expérience dans l'interface tactile avec l'iPhone, mais aussi avec le mode de commercialisation des chansons, films et applications à l'acte (iTunes), Apple part avec une longueur d'avance sur la concurrence, même si sa tablette est techniquement limitée (pas de port USB, ni de webcam).
Une concurrence qui, pour l'heure, s'inscrit dans le sillage d'Apple, sans savoir de quoi sera fait le marché. Afin d'y voir plus clair, Microsoft a renoncé à sa prometteuse tablette Courrier à double écran.
Et HP a lui aussi abandonné sa tablette Slate pourtant présentée comme le challenger de l'iPad. Fonctionnant sous Windows 7, la Slate pourrait toutefois réapparaître en tournant avec le système des smartphones Palm, rachetés par HP.
Malgré ces abandons, nombreux sont ceux qui veulent en découdre avec l'iPad. La tablette Joojoo (photo 2), créée par la société singapourienne Fusion Garage, ressemble beaucoup à l'iPad. L'écran est plus grand (12,1''), elle dispose d'un port USB, est compatible Flash mais n'est disponible qu'en Wifi (359 €).
WePad (photo 3) est un concept allemand qui fonctionne avec le système Androïd de Google. Doté d'un écran de 11,6'', d'un port USB et d'une webcam, cette tablette Wifi est très orientée vers la lecture de la presse grâce à des accords passés avec des éditeurs (450€.)
Le Français Archos, spécialiste des baladeurs, a lui décidé de casser les prix avec une tablette Wifi à 150€. Mais l'écran est petit (7'').
Dans les semaines à venir, ce sont les constructeurs informatiques (Samsung, Asus, etc.) et sans doute Google qui vont se lancer sur ce marché en devenir sur lequel règne en maître l'iPad.
Grâce à son expérience dans l'interface tactile avec l'iPhone, mais aussi avec le mode de commercialisation des chansons, films et applications à l'acte (iTunes), Apple part avec une longueur d'avance sur la concurrence, même si sa tablette est techniquement limitée (pas de port USB, ni de webcam).
Une concurrence qui, pour l'heure, s'inscrit dans le sillage d'Apple, sans savoir de quoi sera fait le marché. Afin d'y voir plus clair, Microsoft a renoncé à sa prometteuse tablette Courrier à double écran.
Et HP a lui aussi abandonné sa tablette Slate pourtant présentée comme le challenger de l'iPad. Fonctionnant sous Windows 7, la Slate pourrait toutefois réapparaître en tournant avec le système des smartphones Palm, rachetés par HP.
Malgré ces abandons, nombreux sont ceux qui veulent en découdre avec l'iPad. La tablette Joojoo (photo 2), créée par la société singapourienne Fusion Garage, ressemble beaucoup à l'iPad. L'écran est plus grand (12,1''), elle dispose d'un port USB, est compatible Flash mais n'est disponible qu'en Wifi (359 €).
WePad (photo 3) est un concept allemand qui fonctionne avec le système Androïd de Google. Doté d'un écran de 11,6'', d'un port USB et d'une webcam, cette tablette Wifi est très orientée vers la lecture de la presse grâce à des accords passés avec des éditeurs (450€.)
Le Français Archos, spécialiste des baladeurs, a lui décidé de casser les prix avec une tablette Wifi à 150€. Mais l'écran est petit (7'').
Dans les semaines à venir, ce sont les constructeurs informatiques (Samsung, Asus, etc.) et sans doute Google qui vont se lancer sur ce marché en devenir sur lequel règne en maître l'iPad.