Alors que la COP30 remet le vivant au cœur des stratégies climatiques, Oxford et la start-up française Asteria dévoilent un atlas inédit qui traduit les mécanismes biologiques en solutions énergétiques concrètes. Nourri par une base scientifique unique, l’outil connecte défis industriels et stratégies inspirées du vivant, ouvrant de nouvelles perspectives d’innovation durable, notamment pour les pays en développement. Ce démonstrateur positionne le biomimétisme comme un levier majeur de la transition énergétique et écologique. À l’heure où la COP30, qui s’est achevée vendredi, plaçait le vivant au centre des enjeux climatiques, l’Université d’Oxford et la start-up française Asteria ont avancé une proposition rare dans le paysage de l’innovation : considérer la biodiversité non comme une ressource à exploiter, mais comme une bibliothèque de solutions éprouvées par 3,8 milliards d’années d’évolution. Autrement dit, la nature est inspirante pour que nous réussissions la tr...
Parler de la planète en danger dans de grands sommets internationaux, c'est bien. Montrer où se trouvent les endroits les plus menacés, c'est mieux. Tel est le parti pris de l'initiative « 100 endroits dont il faut se souvenir avant qu'ils ne disparaissent », pilotée par Co + Life, qui se décline sous forme de livre, cartes postales, calendrier, émission de télé et site internet. Sur ce dernier, accessible à l'adresse www.100places.com, on peut localiser les sites menacés par le réchauffement, dont en France la vallée du Lot.
